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Mis à jour: 9 juillet 2025
Et si jamais les hostilités éclatent et se généralisent entre les deux sexes, on peut conjecturer que la lutte sera cruelle et inique, comme le sont inévitablement les grands mouvements de passion. En cette bataille lamentable, toutes les haines se croiseront: haine de la femme nouvelle contre l'homme, contre la maîtrise de la force brutale, contre la tyrannie persévérante du mâle; haine exaspérée de l'homme contre la femme indépendante, contre les effronteries des demi-vierges, contre les ambitions comiques de ces lettrées prétentieuses que Nietzsche appelait, injurieusement, «des vaches écrivassières aux mamelles gonflées d'encre.» A entendre ces dames et ces demoiselles en voie de libération, le devoir d'obéissance est un «esclavage avilissant». Impossible
MM. Dupont de l'Eure et Laffitte possédaient seuls, dans le parti, une vraie force et la méritaient réellement. J'ai vu de trop près les effronteries et les volte-faces de l'intérêt personnel pour ne pas faire cas de la sincérité et de la constance des convictions, même les plus opposées aux miennes. Depuis que nous étions ensemble dans les affaires, chaque incident, chaque question, chaque séance du Conseil m'apprenaient mieux combien nous différions, M. Dupont de l'Eure et moi. Qu'il s'en rendît compte ou non, les idées et les traditions de 1792 gouvernaient la conduite comme la pensée de M. Dupont. Il n'était, sciemment et d'intention, ni révolutionnaire, ni républicain; mais il portait dans le Conseil naissant de la monarchie constitutionnelle les préjugés, les méfiances, les exigences, les antipathies d'une vulgaire opposition démocratique, et il ne trouvait pas en lui-même l'élévation d'esprit et de moeurs qui, dans sa situation nouvelle, aurait pu lui donner l'intelligence des conditions d'un gouvernement libre. Plus au contraire il avançait dans l'exercice du pouvoir, plus il se repliait, avec un certain orgueil rude, dans ses anciennes habitudes, car en même temps qu'il était dominé par de grossiers amis, il avait foi, une foi honnête et obstinée dans ses idées, les croyant conformes
Mais heureusement la pudeur de l'esprit et la poésie ne meurent jamais tout entières; il y a toujours, même dans les temps les plus corrompus, des coeurs chastes, des âmes d'élite, qui leur donnent refuge et leur servent de sanctuaire. A coté du livre de M. Dumas, voici un noble et élégant écrit qui console de ces impuretés et de ces effronteries; l'art seul l'a inspiré, l'art pur, désintéressé, l'art qui trouve sa récompense en lui-même et dans les sympathies qu'il inspire. Ce livre, remarquable par le fonde et par la forme, est un livre de poésies où le talent de l'auteur touche, en vers excellents, aux plus hautes et aux plus aimables régions de l'esprit et de la philosophie; il a pour titre: Etrusque, et pour poète, M. Philippe Busoni. Je suis heureux de pouvoir donner le premier,
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