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Ririez-vous aussi de notre ruine? Je ne la crains pas. Si la pauvreté ne vous est pas insupportable, elle n'a rien que je redoute. Si elle vous effraie, eh bien! je ne suis pas morte, et ce que j'ai fait, peut se recommencer. Remonter sur la scène, n'est-il pas vrai? C'est l

«Ne gaspillez pas l'or de vos jours, en écoutant les sots essayant d'arrêter l'inéluctable défaite et gardez-vous de l'ignorant, du commun et du vulgaire.... C'est le but maladif, l'idéal faux de notre âge. Vivez! vivez la merveilleuse vie qui est en vous! N'en laissez rien perdre! Cherchez de nouvelles sensations, toujours! Que rien ne vous effraie.... Un nouvel Hédonisme, voil

Si nous supportons vaillamment l'infortune, en revanche, nous faiblissons étrangement devant la douleur physique. Une fièvre nous abat, un malaise nous effraie. Ce nous est un supplice d'entendre gémir ou pleurer autour de nous. Quel homme pourrait veiller au chevet d'un enfant ou d'un malade comme la mère de famille ou la soeur de charité?

Allons! dis-je au capitaine, il faut nager de concert et piquer droit au cap. C'est un peu loin, dam! et il y en a quelques-uns qui resteront en route; mais c'est égal, il ne faut pas que cela vous effraie. Allons, en avant la coupe et la marinière. Bon voyage! nous cria Vicenzo. Encore un mot, vieux. Hein? Vois-tu mon frère? Oui, c'est le second l

«Nos sots plaisirs nous excèdent, mais la solitude nous effraie, et nous ne pouvons plus nous passer de cette vie de représentation stupide, qui est

L'église vous effraie, continua-t-il. Un instant, je vous ai crue conquise

Eh bien, je ne m'en effraie pourtant pas, répondit Gilberte.

Naples éclairé au gaz, Naples avec des restaurans, Naples avec ses bazars, effraie l'insouciant enfant du môle. Le lazzarone, comme l'Indien rouge, se retire devant la civilisation. C'est l'occupation française de 99 qui a porté le premier coup au lazzarone.

Et vos oiseaux? Ils me suivront. Je fais quelquefois dix lieues avec eux. Vous suivent-ils maintenant? Vous ne les voyez pas voler d'arbre en arbre tout le long du chemin? Ils n'approchent pas, parce que je ne suis pas seule et que la voiture les effraie; mais je les vois bien, moi, et ils me voient bien aussi, les pauvres petits!

«Nagez, oiseaux de la mer et des fleuves; fendez de vos pieds de corail le flot amer qui vous balance. Avec ma poitrine solide comme la proue d'un navire, avec mes bras souples comme votre cou lustré, je vous suivrai dans vos nids d'algue et de coquillages. Couvert de mes haillons, je vous effraie; mais, libre et nu, je suis le roi de l'onde, et vous me prenez pour l'un d'entre vous