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Mis à jour: 19 juin 2025


Non!... répondit-il, avec une violence croissante, vous ne sauriez excuser cela. Monsieur mon fils rougit de moi. Porter un nom pur et sans tache le gêne. Il y en a tant comme cela! Il trouverait meilleur d'être le fils d'un gredin titré. Il prétend que ce titre le pose dans la société. Elle est bien, et vaut qu'on y tienne, sa société! Un ramassis de fripons, de filles perdues et de dupes! Je connais ses amis, des désœuvrés, des drôles, qui vont vêtus comme des poupées, frisés, gantés, des caricatures d'hommes. Méchants crevés! On les saignerait

Des orchestres ambulants, composés de trois ou quatre grands diables venus d'Allemagne, et soufflant dans des cuivres, par moment, donnent un peu de vie aux places silencieuses. Dans les boutiques, étroites et sombres, des femmes mafflues, lourdes, aux formes junoniennes, s'écrasent, marchandes, sur la banquette des comptoirs, lasses dès la matinée, répondant d'un ton endormi aux demandes de la clientèle, ou se trainent, visiteuses, devant les étoffes nonchalamment déployées. Aucun endroit gai, réunissant femmes de fête et gens de plaisir. Des cafés, dont quelques-uns fastueux, tout en marbre et en mosaïque, comme le café Colonna, avec de rares consommateurs, voyageurs de commerce désœuvrés ou officiers du poste voisin, au palais législatif de Monte-Citorio, prenant des granits avec mélancolie. Dans les rues, un peuple ennuyé, découragé, manifestant l'inquiétude, et le peu d'entrain du promeneur sans le sou. Sauf peut-être pour ceux qui fréquentent les salons discrets, malveillants et monotones de l'aristocratie appauvrie ou des prélats réduits

Il suffisait de connaître Dugazon pour comprendre ce que devait lui coûter une pareille promesse; lui, le papillon du bal, le point de mire des seigneurs désœuvrés, des baronnes coquettes, des nymphes agaçantes! lui, le brillant acteur, le Frontin hardi, le soupeur par excellence, s'allourdir au point d'amener

Aux riches désœuvrés s'opposent les pauvres accablés; et ni les uns ni les autres ne sentent l'ineptie monstrueuse d'un tel état social.

C'est ici, dirent les femmes. Le commissaire de police s'arrêta. Pendant le trajet, sa suite s'était rapidement grossie de tous les badauds et de tous les désœuvrés du pays. Il était maintenant entouré d'une quarantaine de curieux. Que personne ne pénètre dans le jardin, dit-il.

Alors, il s'étourdit, profita de l'animation passagère du pays pour mener une «vraie vie de fainéant et d'insouciant, une vie banale et commune comme celle de tous les désœuvrés et les imbéciles du monde, visites, bals, soupers, promenades et je ne sais quoi ».

Les nobles n'habitaient plus les donjons féodaux. La guerre n'était plus leur occupation exclusive. Ils ne vivaient plus uniquement avec des nobles, ou avec leurs hommes d'armes ou avec des hommes de leur domesticité. Un autre genre de vie leur avait donné d'autres goûts, et ces goûts d'autres besoins. Souvent désœuvrés, et faisant des plaisirs leur unique affaire, tout ce qui était une ressource contre l'ennui, tout ce qui ajoutait aux jouissances, leur était devenu nécessaire. Le plébéien, riche, éclairé, qui ne dépendait point d'eux, qui pouvait se passer d'eux et dont ils ne pouvaient se passer, vivait, je l'ai déj

Comment je veux que vous alliez! s'écria mademoiselle de Maran outrée. Est-ce que ma maison est faite pour servir de salle d'asile aux membres de l'Institut désœuvrés? Ah! mon Dieu! qu'est-ce qu'il fait encore l

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