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Mis à jour: 23 juin 2025


À partir de San Juan, la végétation n'est plus la même, et la montagne dénudée ne produit plus que des cactus géants de toutes formes.

Une figure de prêteur sur gages, avec de petits yeux faux mais vifs, des cheveux ras, un nez recourbé, des mains aux doigts crochus, et de longs pieds, dont on aurait pu dire ce que l'on dit des pieds des Albanais: «Que l'orteil est en Macédoine quand le talon est encore en BéotieEnfin, une face ronde, pas de moustaches, une barbiche grisonnante au menton, une tête forte, dénudée au crâne, sur un corps resté maigre et de moyenne taille.

Il était trois heures environ quand Mme Sauvigny et Jacquine atteignirent le lieu solitaire le comte Krassing avait failli se casser le cou. À l'extrémité d'une crête dénudée, premier contrefort d'un vaste plateau rocheux, une sorte de promontoire en surplomb domine une pente abrupte, s'entassent en désordre d'énormes blocs de grès éboulés, dont quelques-uns ont des figures d'animaux, d'ours, d'éléphants, de mandrilles ou de mammouths. Par endroits, des coulées de sable fin, d'une éblouissante blancheur, sillonnent un sol rugueux; ça et l

Il répugnait au sacrilège de polluer ainsi, par une joie profane, le temple de l'amour sacré. Accueillant la bouche de sa maîtresse, il se dérobait aux attouchements suprêmes, encore qu'elle se fût dénudée, encore que le désir labourât leurs flancs... Elle s'aperçut de sa contrainte. Quoi?

Eh bien, Kostia, n'est-il pas temps de partirajouta-t-il. Levine jeta un regard par la fenêtre sur le soleil qui disparaissait derrière la cime encore dénudée des arbres. «Il en est temps; Kousma, qu'on attellecria-t-il, descendant l'escalier en courant.

Elle se leva du coffre qui lui servait de siège, dans la vaste pièce dénudée, nommée chambre des filles de service, qui, dans toute maison russe un peu importante, communique avec la chambre de la maîtresse de la maison; le regard anxieux qu'elle leva sur son maître reçut en réponse un: Vite, allons vite! auquel elle se hâta d'obéir.

Pékin!... Et, en quelques secondes, tandis que je subis la puissance évocatrice de ce nom ainsi jeté, une grande muraille couleur de deuil, d'une hauteur jamais vue, achève de se découvrir, se développe sans fin, dans une solitude dénudée et grisâtre, qui semble un steppe maudit. C'est comme un formidable changement de décor, exécuté sans bruit de machinistes, ni fracas d'orchestre, dans un silence plus imposant que toutes les musiques. Nous sommes au pied de ces bastions et de ces remparts, nous sommes dominés par tout cela, qu'un repli de terrain nous avait caché. En même temps, la pluie devient de la neige, dont les flocons blancs se mêlent aux envolées sombres des détritus et de la poussière. La muraille de Pékin nous écrase, chose géante, d'aspect babylonien, chose intensément noire, sous la lumière morte d'un matin de neige et d'automne. Cela monte dans le ciel comme les cathédrales, mais cela s'en va, cela se prolonge, toujours pareil, durant des lieues. Pas un passant aux abords de cette ville, personne. Pas une herbe non plus le long de ces murs; un sol raviné, poussiéreux, sinistre comme des cendres, avec des lambeaux de vêtements qui traînent, des ossements, un crâne. Et, du haut de chacun des créneaux noirs, un corbeau, qui s'est posté, nous salue au passage en croassant

Sur leurs déclivités tourmentées rampent, comme d'énormes serpents jaunes ou rouges, des ravins , en été, ruisselle, or et rubis liquides, l'eau des sources vives; en hiver, les pluies et les neiges s'y précipitent: torrents ou avalanches, entraînant dans leur chute vertigineuse les arbres, les récoltes en promesse, les champs même qui les portaient. Alors le Kabyle, debout sur le toit de sa maison, regarde tristement toute sa richesse s'abîmer dans le gouffre; puis, la tourmente passée, lui et les siens y descendent, et patiemment en rapportent sur leur dos la terre nourricière dont ils recouvrent la pierre dénudée. Dans chaque endroit accessible au montagnard, fleurit un potager, un verger, et n'y eût-il place que pour un arbre, cet arbre s'y épanouit. Partout la montagne repousse même le pied kabyle, s'étalent des bouquets de fleurs multicolores parmi le grès calcaire et le schiste ardoisé: aubépines, chèvrefeuilles, églantiers, clématites, absinthes, mauves, thyms, genêts, lauréoles d'hiver, chardons géants, géraniums musqués, lauriers-roses, renoncules

Le mois de mai, s'il est bon prince, nous revanchera de ces mésaventures. Il chassera les lourdes nuées du «suroît», ramènera d'exil l'hirondelle, le rossignol, le loriot et le coucou, qui sont les quatre symphonistes du printemps, et refleurira la campagne dénudée: Le mois de mai sans les roses, Ce n'est plus le mois de mai...

L'Américain fit volte-face et les suivit de loin. Il n'avait pas de provisions, mais il avait un revolver et, mieux encore, une indomptable volonté. Bientôt, son gibier prit sur la gauche, gravit la montagne du Bonanza, dont la crête dénudée s'en va jusqu'au Dôme du Roi, et, l

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l'égaierait

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