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Mis à jour: 4 juin 2025
Quand on a visité dans Gênes ces antiques et nobles demeures, admiré quelques tableaux et surtout trois merveilles de ce chef-d'oeuvrier qu'on nomme Van Dyck, il ne reste plus
«Pourquoi vous étonner de trouver Huygens au milieu de ces hommes illustres? Ne fallait-il pas trouver une ombre qui fît mieux ressortir ces lumières?» Il a aussi célébré le génie de Van Dyck et son livre des portraits par deux autres distiques insérés dans ses œuvres latines .
[Footnote 145: Son élève, Van Dyck, peint dans un de ses tableaux un âne
Je n'ai pas vu l'intérieur de cet édifice, dans lequel se trouve la collection des portraits des grands hommes de Majorque. Au nombre de ces illustres personnages, on voit le fameux don Jaime, sous les traits d'un roi de carreau. On y voit aussi un très-ancien tableau représentant les funérailles de Raymond Lulle, Majorquin, lequel offre une série très-intéressante et très-variée des anciens costume revêtus par l'innombrable cortège du docteur illuminé. Enfin on voit dans ce palais consistorial un magnifique Saint Sébastien de Van Dyck, dont personne,
Tel qu'il est, avec le catalogue des artistes de l'antiquité, l'ouvrage de Junius mérite les éloges qu'il a reçus de Grotius, de Rubens et de Van Dyck. S'il ne présente pas méthodiquement une histoire de l'art proprement dite, comme Winckelmann l'a composée plus tard, il renferme les documents les plus nombreux et les plus authentiques sur la vie des artistes anciens et sur leurs œuvres. C'est une mine féconde qui a été souvent exploitée: beaucoup d'auteurs, parmi les modernes, ont imité et quelquefois même copié Junius sans le dire. Il est
Sa figure couperosée de rouge et de blanc, comme celle de la Madone de Van Dyck, était sillonnée par deux ruisseaux argentés qui creusaient leur lit dans ses joues, aussi pleines jadis qu'elles étaient flasques depuis son deuil. À chaque nouvelle visite, Mousqueton trouvait de nouvelles larmes, et c'était pitié de le voir étreindre son gosier par sa grosse main pour ne pas éclater en sanglots.
On m'avoit fait présent d'une estampe de Bélisaire, d'après le tableau de Van Dyck ; elle attiroit souvent mes regards, et je m'étonnois que les poètes n'eussent rien tiré d'un sujet si moral, si intéressant. Il me prit envie de le traiter moi-même en prose; et, dès que cette idée se fut emparée de ma tête, mon mal fut suspendu comme par un charme soudain.
Hors du siècle, le chef-d'œuvre d'Albert Giraud, évoque ces galeries de portraits où les ancêtres occupent les places d'honneur. Ils ont tous grand air. Van Dyck aurait pu les peindre. Voici le Dauphin: Qui pleure d'être heureux et dont la tête lasse Plie adorablement sous l'orgueil de sa race, Comme sous un tragique et trop pesant cimier... Au palais des Borgia,
«Monsieur, lui dit Monte-Cristo en souriant, vous qui êtes amateur de tableaux et qui avez de si magnifiques choses, je ne vous recommande pas les miens. Cependant voici deux Hobbema, un Paul Potter, un Mieris, deux Gérard Dow, un Raphaël, un Van Dyck, un Zurbaran et deux ou trois Murillo, qui sont dignes de vous être présentés. Tiens! dit Debray, voici un Hobbema que je reconnais. Ah! vraiment!
Elle te ressemble, Thérèse, sais-tu cela? Elle a un peu du sphinx, et je ne m'étonne pas de ta passion pour son mystérieux sourire. On dit que les artistes créent toujours dans leur nature: il est tout simple que tu aies choisi les portraits de Van Dyck pour ton école d'apprentissage. Il faisait grand, mince, élégant et fier comme ta forme.
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