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A dix heures du matin, l'ennemi s'est avancé pour culbuter ces tirailleurs dans l'eau. Il a pensé qu'une batterie de douze pièces serait suffisante pour faire taire les nôtres; la canonnade s'est engagée: les pièces de l'ennemi ont été démontées; trois bataillons qu'il avait fait avancer en tirailleurs ont été écrasés sous notre mitraille: l'empereur s'y est porté; le général Dulauloy s'est placé avec le général Devaux et dix-huit pièces d'artillerie légère sur la gauche du village de Prielsnitz, position qui prend

Les gardes nationales récemment levées se rendaient de tous côtés dans les places pour en former la garnison et laisser l'armée disponible. Le général Dulauloy avait réorganisé les deux cents bouches

L'empereur avait ordonné au génie de pratiquer des fougasses sous le grand pont qui est entre Leipsick et Lindenau, afin de le faire sauter au dernier moment; de retarder ainsi la marche de l'ennemi, et de laisser le temps aux bagages de filer. Le général Dulauloy avait chargé le colonel Monfort de cette opération. Ce colonel, au lieu de rester sur les lieux pour la diriger et pour donner le signal, ordonna

Un soir des premiers jours de mars, je me trouvais chez Mme de Duras, aux Tuileries. Il y avait du monde, entre autres le général Dulauloy et sa femme. Je surpris entre eux deux ou trois signes imperceptibles qui excitèrent vivement ma curiosité. Ils semblaient dire: «Non, ils ne savent rienMme Dulauloy paraissait, en outre, craindre quelque chose et témoignait d'une grande envie de s'en aller, surtout lorsque M. de Duras traversa le salon, venant du coucher du roi. À ce moment elle rougit, se leva et sortit en emmenant son mari. Je restai la dernière et j'attendis que Mme de Duras revînt de la chambre de son mari, elle l'avait suivi. Je la vis très troublée, et elle me dit: «Il y a quelque chose de terrible, mais Amédée ne veut pas me le direJe rentrai alors chez moi en compagnie d'Humbert et nous fîmes, comme cela arrive toujours, toutes les conjectures imaginables, excepté la véritable. Le lendemain matin, la nouvelle du débarquement au golfe Juan se répandit dans Paris. Elle fut apportée par lord Lucan. Parti la veille au soir pour l'Italie, il rencontra

«MM. les maréchaux commandant en chef les corps d'armée, le général Sorbier, le général Rogniat, le général Dulauloy, le général Nansouty, commandant en chef la cavalerie, le directeur général de l'administration de l'armée, et enfin tous chefs d'autorité militaires ou d'administration, feront exécuter, chacun en ce qui le concerne, les dispositions ci-dessus.

La division Morand et la division wurtembergeoise enlevèrent le mamelon dont l'ennemi avait fait son point d'appui. Le général Devaux établit une batterie dont il dirigea le feu sur les masses qui voulaient reprendre la position. Les généraux Dulauloy et Drouot, avec soixante pièces de batterie de réserve, se portèrent en avant. Enfin, le duc de Trévise, avec les divisions Dumoutier et Barrois de la jeune garde, se dirigea sur l'auberge de Klein-Baschwitz, coupant le chemin de Wurtchen