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Mis à jour: 15 juillet 2025
Deux années s'écoulèrent sans apporter de changements bien sensibles dans l'intérieur de Dournof; puis une fille lui naquit. L'année suivante, madame Mérof gagna une pleurésie en chaperonnant Marianne
Le stratagème réussit parfaitement, et l'escadron sacré comprit aussitôt la manoeuvre. Après deux tours de valse, Dournof déposa Antonine sur une chaise, non loin de sa mère; mais au moment où les besicles se dirigeaient de ce côté, un des séides d'Antonine l'enlevait pour la repasser
A sa vue, il se souleva et s'assit; cette visite ne lui présageait rien de bon. A sa grande surprise, Marianne lui parla avec tendresse. Mon ami, dit-elle il me semble que Serge va mieux. Dournof lit un geste affirmatif. Nous pourrons désormais, je crois, continua-t-elle, de veiller nous-mêmes. Son mari la regarda et ne répondit pas.
Il se tut et regarda Antonine qui, loin de détourner les yeux, leva sur lui son visage empourpré. Dournof alors étendit sa large main, élégante de forme, mais grande et lourde; la jeune fille y mit la sienne, sans hésiter, mais avec une gravité recueillie.
Dournof sentit en lui qu'elle ne voudrait pas, et une crainte douloureuse se présenta
Antonine parlait d'attendre; en effet, pour elle, attendre n'était pas si dur; elle vivait dans la maison paternelle, où régnait l'aisance; elle travaillait suivant ses goûts, entourée d'objets de son choix... la vie lui était facile... Mais pour lui. Dournof, c'était une autre existence. Il regarda
Dournof quitta la nursery sans se retourner, et la Niania respecta son silence. La grand'mère vint aussi voir son petit-fils, qui fut entouré de tantes et d'amies empressées; mais la Niania ne s'émut ni des conseils ni des recommandations. L'enfant était
Il fondit en larmes et couvrit du baisers passionnés les mains du portrait qui le regardait avec ce calme et celle dignité qui mettaient Antonine vivante si fort au-dessus des autres femmes. La Niania pleurait aussi, mais sans cet élan de repentir qui perçait si douloureusement l'âme de Dournof.
Antonine pleurait, le visage dans ses mains. Dournof se pencha sur elle. Ne pleure pas, lui dit-il, tu me brises le coeur. Elle leva sur lui ses yeux creusés par la souffrance physique et morale. Au moment où tout est si beau, où nous n'avons plus qu'
Antonine allait répondre, un signe de Dournof lui fit garder le silence. Aussi longtemps qu'on leur permettrait de se voir la vie serait supportable. Le jeune homme salua donc les vieillards, en leur serrant la main comme de coutume; il tendit aussi la main
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