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M. Després, en sa qualité d'habitant du Marais, n'était ni fort ingambe ni fort répandu. Il se mit cependant en quête, et, quelques jours après, madame Doradour eut une nouvelle demoiselle,

Par ces réflexions philosophiques, je veux montrer qu'il n'est pas étonnant que Margot fût un peu amoureuse du jeune garçon qui l'avait aperçue dans son bain, et je veux dire aussi que pour cela on ne doit pas prendre mauvaise opinion d'elle. Lorsque l'amour se mêle de nos affaires, il n'a pas grand besoin qu'on l'aide, et on sait que lui fermer la porte n'est pas le moyen de l'empêcher d'entrer; mais il entra ici par la croisée, et voici comment: Ce jeune garçon en habit de hussard n'était pas autre que Gaston, fils de madame Doradour, qui s'était arraché, non sans peine, aux amourettes de sa garnison, et qui venait d'arriver chez sa mère. Le ciel voulut que la chambre logeait Margot fût

Il va sans dire que mademoiselle Ursule était la véritable maîtresse au logis. Pendant que madame Doradour, enfoncée dans sa chaise longue, tricotait dans un coin de son salon, mademoiselle Ursule, affublée de ses clefs, traversait majestueusement les corridors, tapait les portes, payait les marchands et faisait damner les domestiques; mais dès qu'il était l'heure de dîner, et dès que la compagnie arrivait, elle apparaissait avec timidité, dans un vêtement foncé et modeste; elle saluait avec componction, savait se tenir

Madame Doradour, pendant ce temps-l

Le bonhomme Piédeleu et Madame Doradour, avertis par le médecin, entrèrent dans la chaumière au moment la noyée,

Je demande grâce au lecteur pour les enfantillages que je lui raconte; mais comment raconterais-je autre chose, mon héroïne étant un enfant? Madame Doradour avait été invitée

Je crois que vous dites vrai, répliqua madame Doradour; mais je suis bien triste et bien embarrassée. Je ne connais pas une âme

Je n'ai pas besoin de peindre la surprise, la joie de madame Doradour et de tous les parents de Margot, qui arrivèrent les uns après les autres. Gaston et mademoiselle de Vercelles vinrent aussi, et madame Doradour ayant pris le bonhomme

Dans une grande et gothique maison, rue du Perche au Marais, habitait, en 1804, une vieille dame connue et aimée de tout le quartier; elle s'appelait madame Doradour. C'était une femme du temps passé, non pas de la cour, mais de la bonne bourgeoisie, riche, dévote, gaie et charitable. Elle menait une vie très retirée; sa seule occupation était de faire l'aumône et de jouer au boston avec ses voisins. On dînait chez elle

La salle de bain de madame Doradour était un réduit plus mondain qu'il n'appartient