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Mis à jour: 29 mai 2025
Il part pour la montagne, et son cheval l'enlève: Vivent les monts! l'esprit avec les pas s'élève. Et le maître, emporté par des souffles divins, S'en va, poëte équestre, au-dessus des ravins, Au galop, dans le vent, selon sa fantaisie, Humer,
La vie ascétique menée par les divins bergers, la persuasion qu'ils sont les frères et compères du soleil, valent
[Note 45: Il avait fait son étude d'une première chambre «fort grande et fort claire,» où ses dix mille volumes étaient «rangés en belle place et bel air.» «J'ai fait mettre, dit-il, sur le manteau de la cheminée un beau tableau d'un crucifix qu'un peintre me donna en 1627. Aux deux côtés du bon Dieu, nous y sommes tous deux en portrait, le maître et la maîtresse; au-dessous du crucifix sont les deux portraits de feu mon père et de feu ma mère; aux deux coins sont les deux portraits d'Erasme et de Scaliger. Vous savez bien le mérite de ces deux hommes divins. Outre les ornements qui sont
Florence, 27 août. Je viens de visiter les sépultures de Galilée, de Machiavel et de Michel-Ange. Je me suis approché de la tombe de ces grands hommes tout frissonnant de respect... Ceux qui leur ont élevé ces mausolées espéraient sans doute se disculper de la misère et des persécutions avec lesquelles leurs aïeux punissaient la grandeur de ces divins génies?
Quoi donc, notre main inhabile pourrait dévoiler ces trésors enchanteurs, ces charmes divins, qui avaient fait surnommer mademoiselle Angèle la jolie fille du faubourg Québec. Avouons-le, en toute humilité, nous ne la croyons pas!
Hélas! soupirai-je, ce n'est donc point un sénat d'hommes divins, un concile d'Immortels; ce n'est donc pas l'auguste aréopage de la poésie et de l'éloquence?
Abou Zéïd s'occupa de la théorie des attributs divins, tant agitée par les Motazélites, et de celle de la prédestination. Sa croyance sur ces deux points demeura orthodoxe; sa conclusion est bien humble: «(p. 100) Les choses les plus justes sont les moyennes. On a dit: celui qui réfléchit sur le destin est comme celui qui regarde le centre du soleil; plus il le fixe, plus il est ébloui. Celui qui se borne
Cette litanie sublime des perfections et des droits divins du Dieu créateur se poursuit de strophe en strophe avec l'accent d'un Te Deum de l'âme, ivre de joie d'avoir entrevu son auteur. La création de l'homme n'est pas célébrée dans un autre hymne avec moins de métaphysique et moins de poésie pleine de symbole.
Je ne peux plus savoir, tant ma vie est exsangue, Si c'est vous, ou si c'est l'univers qui me manque. Et même en songe, dans la pensive clarté, Je me débats encor pour ne pas vous quitter... On ne peut rien vouloir, mais toute chose arrive, Je ne vous aime pas aujourd'hui tant qu'hier, Mon coeur n'est plus une eau courant vers votre rive, Mes pensers sont en moi moins divins, mais plus fiers.
LIV. Seulement il s'échappa de la physionomie d'Aurora, de ses yeux peut-être, de ses lèvres, de son front, un de ces signes splendides et vagues, un de ces sourires divins et invisibles que l'imagination aperçoit plutôt que le regard. C'était comme une caresse fluide, comme ces baisers de lumière que les étoiles laissent errer sur les pelouses et les marguerites des champs.
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