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LA COMTESSE. Dis-moi ta raison: pourquoi veux-tu te marier? LE BOUFFON. Mon pauvre corps, madame, le demande: je suis poussé par la chair; et il faut qu'il aille celui que le diable pousse. LA COMTESSE. Sont-ce l

SOPHIE. Mais dis-moi, Paul, comment et avec qui es-tu arrivé ici,

Bien conclu! abymons tout sur un soupçon. Qui t'a prouvé, dis-moi, que c'est toi qu'elle joue, et non le Comte? L'as-tu étudiée de nouveau, pour la condamner sans appel? sais-tu si elle se rendra sous les arbres,

«Dis-moi, tête, lui demanda-t-elle, que ferai-je pour être très- belle? Sois très-honnête, lui répondit-on. Je n'en demande pas plus», reprit la questionneuse. Sa compagne accourut aussitôt et dit: «Je voudrais savoir, tête, si mon mari m'aime bien ou non. Vois comme il se conduit, répondit-on, et tu connaîtras son amour

Mon trouble est extrême, dit le serviteur de Dieu, en essuyant de sa manche son front mouillé de sueur. Mais, dis-moi, mon fils Samson, ce n'est point une petite tâche que de gréer cette auge de pierre. Et ne nous arrivera-t-il pas, si nous entreprenons une telle oeuvre, de perdre du temps loin d'en gagner. Ah! mon père, s'écria le Diable, en un tour de sablier la chose sera faite.

Une fois au vestibule, prenant les mains du vieillard: Grimaud, dit-il, j'ai vu comment le père est mort: dis-moi maintenant comment est mort le fils.

Dis-moi, démon, s'écria Sancho, as-tu quelque ange

Mais, dis-moi, quel est celui d'entre eux qui consignera dans ses chants, ou dans les archives des tournois, la victoire mémorable de cette nuit, victoire remportée sur un vieillard, suivi de quelques serfs timides, et qui vous a donné pour butin une fille infortunée, transportée contre son gré dans le château d'un brigand

Eh bien, rends-moi donc la mort plus douce. Dis, dis-moi que tu m'aimes...C'est un pied dans la tombe que je t'en conjure. Je ne suis plus pour toi qu'un mourant. Les préjugés du monde disparaissent, les liens de la société se brisent devant l'agonie. Entoure mes derniers moments des félicités du ciel...Ah! dis, dis-moi que je suis aimé. Eh bien, oui, je vous aime! et depuis longtemps.

Mais, dis-moi, tes noirs, les as-tu pris? car l'ouragan nous a séparés, et je ne t'ai retrouvé que cette nuit. Sur la côte...