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Mis à jour: 7 juin 2025


Dillon se retrancha aux Islettes, il fit des abatis, éleva d'excellens retranchemens, et, disposant habilement de l'artillerie française, qui était nombreuse et excellente, plaça des batteries de manière

Dillon devina qu'il s'agissait des navires de La Pérouse, dont la disparition avait ému le monde entier. Il voulut gagner Vanikoro, , suivant le lascar, se trouvaient de nombreux débris du naufrage ; mais les vents et les courants l'en empêchèrent.

Dillon continua audacieusement son chemin; il fit garder la Chalade, en passant, par deux mille hommes, et arriva aux Islettes, il trouva Galbaud avec quatre mille hommes. Le général était venu l

3 Bustes du portrait de l'empereur Alexandre, 1 La fille de la comtesse Potocka. 1 Une Allemande. 1 La demoiselle Dorset. 1 Madame Chinnery. 2 Ses enfans. 1 Mademoiselle Dillon. 1 Madame Villiers. 1 La margrave d'Anspach. 1 Madame Bering. 1 Le prince de Galles. 1 Madame de Polastron. 1 La comtesse Driedrestein. 1 Le jeune Polastron enfant. 1 Lord Byron. 1 Le prince Bariatinski.

Des trois régiments de la brigade irlandaise, Dillon et Berwick étaient les seuls qui eussent conservé leurs noms. Je me souviens que lorsque M. Walsh fut nommé colonel du régiment qui prit son nom, M. de Fitz-James et mon père en témoignèrent beaucoup de mécontentement, prétextant qu'il ne tenait

Mon ami le chevalier Jerningham m'avait informée que notre oncle lord Dillon refusait avec la plus grande dureté de nous venir en aide. D'un autre côté, toute communication avait cessé avec la France.

Dillon passa devant le Chêne Populaire qui, nous l'avons dit, devait être occupé et défendu par le général Dubouquet, et continua sa marche entre la Meuse et l'Argonne, suivi par Dumouriez et ses quinze mille hommes. Le surlendemain, Dumouriez était

Alexandre Macdonald (1765-1840), issu d'une famille irlandaise, s'engagea dans le régiment irlandais de Dillon, devint général de division en 1795 et gouverneur des

Et, comme nous l'avons dit, la retraite commença le lendemain. La retraite fut un échange de bons procédés. Dillon seul, qui n'approuvait pas cette manière de faire la guerre, se fit donner deux ou trois fois sur les ongles en voulant serrer l'ennemi de trop près. L'ennemi, on le caressait, on le choyait, on lui donnait du pain et du vin pour qu'il eût la force de gagner plus vite la frontière.

On fit partir seulement, le 23 mars 1781, un vaisseau, le Sagittaire, et six navires de transport sous la conduite du bailli de Suffren. Ils emportaient six cent trente trois recrues du régiment de Dillon, qui devaient compléter les quinze cents hommes de ce régiment, dont l'autre partie était aux Antilles. Il y avait en outre quatre compagnies d'artillerie.

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l'égaierait

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