United States or Sint Maarten ? Vote for the TOP Country of the Week !


Les autres théâtres d'Espagne ne sont, d'ailleurs, guère plus suivis que celui de Malaga, pas même le théâtre del Principe de Madrid, se trouvent cependant un bien grand acteur, Julian Roméa, et une excellente actrice, Matilde Diez. L'antique veine dramatique espagnole semble être tarie sans retour, et pourtant jamais fleuve n'a coulé

La 1re édition avait été traduite en français par de Roisin. F. Diez, Die Poesie der Troubadours, 2e édition, revue par K. Bartsch, Leipzig, 1883. C. Fauriel, Histoire de la poésie provençale, 3 vol. Paris, 1846. Ouvrage vieilli, mais contenant d'excellents chapitres sur la poésie «lyrique» des troubadours.

Gallathee pucelle delectable Honnourable Responce tu ne me rens Disant ainsi que sans tes bons parens Vraiz conducteurs et amis apparens De ton voulloir a nul ne es mariable Mais sans fable C'est chose veritable Quelques parens que tu diez avoir Convenable est et facille a sçavoir Qu'il esconvient que ta torche et lumiere En fait d'amours procede la premiere Pour acquerir de eulx le consentement Par quoy tu peulz monstrer aucunement Pamphille de bien aymer couraige En attendant cestuy appointement A celle fin au moins que seullement Signe d'amour son ardeur assouaige

Dimanche 24 septembre. Le capitaine de l'Isle, le descendant du chevalier, du favori de Marie-Antoinette, m'apprend que la famille Diez, la famille dans laquelle mon grand-père avait pris sa femme, avait été anoblie au XVIIe siècle, pour avoir fondé une messagerie, Laffitte et Caillard, qui allait de la Haute-Marne

A. Stimming, 2e éd., 1892, éd. Une édition de Bernard de Ventadour, par M. C. Appel, est en préparation. Une édition de Marcabrun par le Dr Dejeanne va paraître incessamment. K. Bartsch, Die Lieder Peire Vidal's, Berlin, 1857. Bernhard. Paris, 1774. F. Diez, Leben und Werke der Troubadours, 2e édition, revue par K. Bartsch, Leipzig, 1882.

Cette influence de la poésie des troubadours sur la littérature des peuples romans a été reconnue depuis longtemps. Diez l'avait déj

Un des plus originaux de cette première période est certainement le troubadour Marcabrun. Il était originaire de Gascogne, et, si l'on en croit la biographie, il eut une triste jeunesse. «On le trouva devant la porte d'un homme riche et on ne sut jamais rien de sa naissanceOn l'appelait, continue le biographe, Pain perdu (Pan perdut). Diez plaçait son activité entre 1140 et 1195; mais il semble plus vraisemblable de ne pas la faire remonter au del

F. Diez, Grammaire des langues romanes, traduction Gaston Paris, A. Brachet, Morel-Fatio, Paris, 1873-1876, 3 vol. W. Meyer-Lübke, Grammaire des langues romanes, traduction Rabiet et Doutrepont, 4 vol. Paris, 1889-1905.

Ci dit l'Amant des biax atours Dont iert vestus li Diez d'Amours.

Ses chansons, comme l'a remarqué Diez , se distinguent par une certaine recherche de traits nouveaux. C'est ainsi que, pour mieux exalter la beauté de sa dame, il suppose que Dieu lui-même, s'il voulait aimer une mortelle, n'en choisirait pas d'autre. Une élégie touchante sur la mort de celle qu'il aimait se termine par un trait analogue. «Je ne demande pas