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En 1802, commença Cabillaud père, le théâtre de Bordeaux possédait une actrice du nom de Lanlaire qui était au mieux avec la plus haute autorité militaire de la ville. Aussi la donzelle, se sachant protégée, s'en donnait-elle

L'un était lord Dillon, frère aîné de mon père. Il habitait une belle maison dans Portman Square, avec sa seconde femme, deux de ses filles et un jeune fils , âgé de huit ou neuf ans et beau comme un ange. Lady Dillon était une demoiselle Rogier, d'origine belge. Elle avait toutes les apparences de ce qu'elle était en réalité, une vieille actrice. Mon oncle l'avait eue pour maîtresse avant d'épouser miss Phipps, fille de lord Mulgrave. De cette liaison naquit un garçon qui, selon la coutume admise en Angleterre parmi les protestants, avait été autorisé

Donc M. le comte Lucien (je ne sais en quelle année) rechercha les bonnes grâces de mademoiselle Méserai, actrice jolie et spirituelle du Théâtre-Français. La conquête n'en fut pas difficile, d'abord parce qu'elle ne l'avait jamais été pour personne, ensuite parce que l'artiste connaissait l'opulence de M. le comte, et le croyait prodigue. Les premières attentions de son amant durent la confirmer dans cette opinion. Elle demanda un hôtel; on lui en donna un richement et élégamment meublé, et le contrat lui en fut remis le jour elle prit possession. Chaque visite de M. le comte enrichissait de quelque nouvelle parure la garde-robe ou l'écrin de l'actrice. Cela dura quelques mois, au bout desquels M. Lucien se dégoûta de son marché, et se mit

Dans le salon de mademoiselle Mars, dont nous parlerons plus tard, la célèbre actrice garda toute sa vie,

[Note 30: À Erfurt, une actrice de la Comédie française, mademoiselle Bourgoing, avait été remarquée d'Alexandre; l'hiver suivant, elle reçut un congé pour se rendre

Charles Demailly, homme de lettres, épouse par amour une jolie actrice, Marthe, petite personne jolie, sotte et sèche, qui le prend en haine, le calomnie, le torture dans son coeur et dans son honneur et le précipite enfin dans la folie incurable.

«Je suis la plus malheureuse fille du monde; j'ai toujours été la plus vertueuse actrice de l'Opéra. Il y a sept ou huit mois, que j'étois dans la loge vous me vîtes hier; comme je m'habillois en prêtresse de Diane, un jeune abbé vint m'y trouver; et, sans respect pour mon habit blanc, mon voile et mon bandeau, il me ravit mon innocence. J'ai beau exagérer le sacrifice que je lui ai fait, il se met

Mais je me flattais secrètement alors, au bruit des brises d'hiver dans le toit de ma mansarde et au pétillement du sarment de vigne dans l'âtre, que quelqu'une de ces tragédies, amusement de mes ennuis de jeunesse, aurait le bonheur de parvenir jusque sur la scène par la protection de quelque acteur de génie ou de quelque actrice en faveur. J'entrevoyais dans ce succès, non-seulement une précoce célébrité pour mon nom inconnu du monde, mais un peu de fortune

Lucrezia Floriani était une actrice d'un talent pur, élevé, suffisamment tragique, toujours émouvant et sympathique quand elle jouait un rôle bien fait, exquis, admirable, dans tous les détails de pantomime, créations ingénieuses

«Est-ce que tu as vu mon actrice, au Salon? Aimes-tu ça, franchementClaude hésita une seconde, puis en bon camarade: «Oui, il y a des choses très bienDéj