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Mis à jour: 27 juin 2025
"Oh! redoutables devoirs du juge, dictés par le plus sage des hommes! Ce ne sont plus seulement les aristocrates, les fédéralistes, les scélérats de la faction d'Orléans, les ennemis déclarés de la patrie qu'il faut frapper. Le conspirateur, l'agent de l'étranger est un Protée, il prend toutes les formes. Il revêt l'apparence d'un patriote, d'un révolutionnaire, d'un ennemi des rois; il affecte l'audace d'un cœur qui ne bat que pour la liberté; il enfle la voix et fait trembler les ennemis de la République: c'est Danton; sa violence cache mal son odieux modérantisme et sa corruption apparaît enfin. Le conspirateur, l'agent de l'étranger, c'est ce bègue éloquent qui mit
Dont ensiues grant querelle; Moy et elle, Advint qu'en une chappelle Nous nous trouvasmes tous deux, Et je lui dis: Bonne et belle, Ne me soiez si cruelle, Puisque nous sommes tous seulz. Dictes moy vostre vouloir, Ne me vueillez decevoir, Ne mectre
Vous me dictes si doulcement, En moy baisant et accollant, Amy, amons nous chierement, Baille ton cueur, et prens le mien; Et je changay joyeusement, Et vous aussi si liement, Et feismes loyal serment Qu'avons tenu, je le scay bien.
Regardez plus avant un poy, Vos regars ne soient lassez. Hau guecte, etc. Voyez vous, etc. Acquicté me suis, comme doy, Il a ja plusieurs ans passez, Sans avoir mes gaiges cassez, Bien avez servi, sur ma foy. Hau guecte, etc. Se vous voulez que tout vostre deviengne, En me monstrant quelque joyeux semblant, Dictes ce mot: Je vous tiens mon servant, Servez si bien que contente m'en tiengne.
Monsieur l'ambassadeur, je vous laysse ces lettres, lesquelles ne me peuvent de rien servir, et vous asseure, sur ma foy, qu'elles n'ont jamais esté ouvertes, et le milord Coban menaçoit chacun que s'il pouvoit trouver celluy qui avoit pris les dictes lettres, qu'il le pendroit; dont, pour craincte de cella, je les ay aportées
Que vostre messaige m'envoye; Car vous dictes que querez voye De venir vers moy, se m'aid Dieux, Demander ne vouldroye mieulx. En esperant que brief vous voye.
«Adieu, adieu, ma bien chère soeur; mon âme est cruellement affectée, mais je suis et je serai toujours le même, et rien ne pourra m'aigrir assez pour nuire aux devoirs qui me sont dictés par l'honneur et par les sentiments qui sont gravés dans mon coeur.»
Helas! la verray je jamais? Qu'en dictes vous, tres doulx penser? Espoir m'a promis, ouil, mais Trop longtemps me fait endurer; Et, quant je lui viens demander Secours
Premierement, se c'est vostre plaisance, Recommandez moy, sans point l'oublier, A ma Dame; ayez en souvenance, Et lui dictes, je vous pry et requier, Les maulx que j'ay quant me fault eslongnier, Maugré mon vueil, sa doulce compaignie; Vous savez bien que c'est de tel mestier, Il ne faut ja que plus je vous en die.
Quoique les Juifs eussent un amour plus tendre pour leurs Prosélytes, leurs livres sont garants qu'ils fraternisoient avec les Nations qui gardoient les préceptes que Dieu avoit dictés aux fils de Noë, consistant
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