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Mis à jour: 9 juin 2025
Tout de suite, s'écria Césarine en sortant avec impétuosité. Oui, tout de suite, reprit M. Dietrich en refermant la porte derrière elle. Avec Césarine, il ne faut laisser couver aucune étincelle sous la cendre. Craignez-vous d'être accusée d'ambition et de savoir-faire? Oui, monsieur, il y a cela d'abord. Vous êtes au-dessus.... On n'est au-dessus de rien dans ce monde.
M. Dietrich et M. de Valbonne se mirent
M. de Dietrich et ses amis politiques avaient réclamé d'autres mesures encore de la Constituante. Déçus dans leur espoir de rallier une fraction notable du clergé aux lois nouvelles, et comprenant qu'il fallait essayer du moins de créer un clergé assermenté, si l'on ne voulait renoncer dès le début
M. Dietrich l'interrompit. Vous vous trompez, monsieur; j'étais mieux renseigné que vous; je savais que dans aucune démarche de ma fille il n'y avait péril pour elle. Je sais maintenant ceci: c'est que vous élevez la prétention de l'empêcher
Rien ne put la faire transiger. M. Dietrich recula. Il ne voulait pas fermer sa porte
L'hôtel Dietrich était une des plus belles villas du nouveau Paris, dans le voisinage du bois de Boulogne et dans un retrait de jardins assez bien choisi pour qu'on n'y fût pas incommodé par la poussière et le bruit des chevaux et des voitures.
Il n'était que onze heures, et, M. Dietrich n'étant pas rentré, Bertrand devait être dans la galerie des objets d'art, au rez-de-chaussée: c'est l
Et le procès-verbal décrit la cérémonie qui eut lieu en grande pompe. L'enfant catholique eut pour marraine Mme Dietrich de la religion réformée; [Note: Femme du maire de Strasbourg dans le salon duquel Rouget de Lisle chanta la Marseillaise.] l'enfant luthérien, Mme Mathieu, catholique, femme du procureur de la Commune. L'enfant catholique fut prénommé: Charles, Patrice, Fédéré, Prime, René, De La Plaine, Fortuné, l'enfant protestant: François, Frédéric, Fortuné, Civique. Quand les deux ministres, luthérien et catholique, eurent terminé chacun leur office et qu'ils se furent donné «le baiser de paix et de fraternité», au baptême religieux succéda le baptême civique proprement dit: «L'autel religieux fut enlevé. Les marraines portant les nouveau-nés vinrent occuper son emplacement. On déploya le drapeau de la fédération au-dessus de leurs têtes. Les autres drapeaux les entourèrent, ayant cependant le soin de ne pas les cacher aux regards de l'armée et du peuple. Les chefs et commandants particuliers s'approchèrent pour servir de témoins. Alors les parrains debout sur l'autel de la Parie prononcèrent
Paul feignit de me croire, mais son attention était éveillée. Il me reconduisit en bas en me disant: Mademoiselle Dietrich commence
Pourtant, dit M. Dietrich, il a fait hier soir une scène inquiétante, et dans ses moments de crise il ne se rappelle plus rien.
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