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Mis à jour: 5 juin 2025
Que devons-nous penser, mes chers enfants, quand nous voyons les bêtes des champs pleines de bienveillance, de vertu, et de gratitude. Où est-elle cette supériorité dont, nous parlons!
Cependant, sur plusieurs milliers d'ascensions aérostatiques, on ne compte pas vingt accidents ayant causé la mort. En général, ce sont les attérissements et les départs qui offrent le plus de dangers. Aussi, en pareil cas, ne devons-nous négliger aucune précaution.
Vous, Lord Grey, dit-il, vous êtes un soldat et un homme d'expérience; quel est votre avis? Devons-nous faire halte ici ou pousser sur Londres?
ROXANE. Oui, oui, sortons! J'étouffe de rage! RABOISSON. Devons-nous rester? LE COMTE. Vous, certes; mais le chevalier est vif... RABOISSON. Et jeune! LE CHEVALIER, au comte. Je me retire, monsieur. Nous nous sommes permis... LE COMTE. Soyez les bienvenus, messieurs. Qu'y a-t-il pour votre service? REBEC, ému. Voil
Votre pays vous aime, monsieur; S. M. le roi Georges III vous aime; votre mémoire est honorée, révérée, respectée; tout le monde a de la tendresse pour vous, de la reconnaissance pour vous; votre nom est couché tout au long dans un livre au ministère de la guerre. Dieu me damne, gentleman, ne devons-nous pas tous mourir un jour ou l'autre, hein?» La voix toussa et ne dit plus rien.
L'art s'occupe des apparences, et l'œil de l'homme qui contemple la Nature, et devons-nous dire, la vision de l'artiste, nous importe bien plus que l'objet sur lequel il est dirigé. Il y a bien plus de vérité dans l'aphorisme de Corot qu'un paysage est simplement: «un état d'âme» que dans toutes les laborieuses recherches de M. Bayliss sur le naturalisme.
Nous avons apprécié l'hospitalité de cet homme digne et calme, nous avons été surpris par son intelligence; néanmoins devons-nous reconnaître qu'il n'est guère de taille
Et resté seul avec maître Folgat: À présent, cher maître, dit-il, convenons de nos faits. Devons-nous parler du récit de Marthe et des projets de Goudar?... Non, car Galpin-Daveline veille, et il suffirait d'un soupçon arrivant jusqu'
Pourquoi devons-nous faire ce que fait cette tige débile, chargée de boutons et de fleurs? dit le philosophe, en montrant au jeune homme un superbe rosier. Le vent souffle, il le secoue et lui s'incline, comme pour cacher sa précieuse charge. Si la tige se maintenait rigide, elle se romprait, le vent disperserait les fleurs et les boutons mourraient avant d'éclore. Le coup de vent passé, la tige se redresse orgueilleuse, portant son trésor. Qui l'accusera pour avoir plié devant la nécessité? Voyez l
A ceux qui désespèrent de la philosophie, nous répondrons d'abord qu'il sera toujours temps de les écouter lorsque nous aurons tenté l'aventure, mais surtout nous leur répondrons qu'il faut, s'ils ont raison, désespérer également de la morale, comme science du moins, car l'idée d'une morale indépendante contredit son propre point de départ. Ce point de départ, c'est le sentiment d'une obligation intérieure d'agir. Nous trouvons en nous ce sentiment d'obligation, et nous sommes contraints de lui reconnaître une autorité péremptoire. Tel est le fait; mais de ce fait, que pouvons-nous, que devons-nous forcément conclure? Une obligation ne se conçoit pas sans un être qui oblige; une loi de la liberté suppose un législateur, une sentence suppose un juge. N'eussions-nous aucun autre moyen de connaître Dieu, ce qui est bien possible, nous le connaîtrions par le cri de notre conscience. La conscience est une méthode qui conduit
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