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Constancia s'était retirée dans sa petite chambre, elle pleurait l'absence de son cher prince; elle n'osait lui écrire, parce que la reine avait des espions en campagne qui arrêtaient les courriers, et elle avait pris de cette manière les lettres de son fils. «Hélas! Constancio, disait-elle, vous recevrez bientôt de tristes nouvelles de moi; vous ne deviez point partir, m'abandonner aux fureurs de votre mère; vous m'auriez défendue, ou vous auriez reçu mes derniers soupirs; au lieu que je suis livrée

Hélas! je vois bien que vous deviez

La jeune marquise de Sérigny, très-grande dame pourtant, s'approcha de M. de Lugarto et lui dit: Je viens vous présenter une requête au nom d'une foule de jolies femmes. Voyons, de quoi s'agit-il? demanda M. Lugarto. D'un ou de deux bals charmants que vous deviez nous donner ce printemps pour célébrer votre retour. Vous savez si bien organiser une fête! ce serait délicieux.

Quel étrange garçon vous faites, Steerforth! m'écriai-je en m'arrêtant, car c'était la première fois que j'en entendais parler. Comme si vous déviez avoir jamais la fantaisie de revenir ici!

Que voulez-vous dire? fit Jacques inquiet. Eh! mon Dieu! c'est bien simple!... dans mon irritation première j'ai oublié que depuis longtemps vous deviez être préparé

Oui, et il n'est pas douteux que les choses se soient passées ainsi! répondit Zach Fren. Capitaine Ellis, dit alors Mrs. Branican, en cherchant le Franklin dans les mers de la Malaisie, vous avez agi comme vous deviez agir... Mais c'est

Non, contre moi. Bah! que ce soit lui ou que ce soit moi qui vous présente, puisque vous deviez être présenté, c'est la même chose. On devait me faire faire des habits. Les vôtres sont splendides. Oh! ceux que j'avais commandés étaient bien plus beaux. Prenez garde, le roi aime la simplicité. Alors je serai simple. Mais que dira M. Fouquet de me savoir parti? Êtes-vous donc prisonnier sur parole?

Ne perdons pas de temps, l'heure presse. L'heure presse? Tu m'effrayes, Aubin!... Ne vous effrayez pas, mademoiselle. M. le marquis part avec nous autres justement pour aller nous... vous deviez aller vous-même. Mon Dieu!... Je ne peux pas le quitter, moi, c'est impossible. Il est habitué

C'est que tous les apprêts du supplice devront être faits comme si le supplice avait lieu. Vous vous confesserez ce soir comme si vous deviez mourir demain, on viendra vous chercher comme si vous n'aviez pas votre grâce, on vous conduira au lieu de l'exécution comme si on allait vous fusilier; enfin, pour conduire la chose jusqu'au bout et que l'exemple soit complet, on fera feu sur vous, mais les fusils ne seront chargés qu'

Je ne crois pas que vous deviez dans ce moment changer l'ordre judiciaire; mais je pense seulement que vous devez étendre la faculté des choix. Remarquez que tous les hommes de loi sont d'une aristocratie révoltante; si le peuple est forcé de choisir parmi ces hommes, il ne saura reposer sa confiance. Je pense que si l'on pouvait, au contraire, établir dans les élections un principe d'exclusion, ce devrait être contre ces hommes de loi qui jusqu'ici se sont arrogé un privilège exclusif, qui a été une des grandes plaies du genre humain. Que le peuple choisisse