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L'auteur de l'Art de mettre sa cravate lance dans le monde un ouvrage qui, bien qu'il ne soit pas de lui, va trouver bien des détracteurs, et lui attirer peut-être bien des persécutions. Comment! vont s'écrier une foule d'esprits étroits, ce baron de l'Empésé prétend ériger en science l'art affreux de donner

[Note 43: Cherchons le coeur du XVIIIe siècle. Il est double: Voltaire, Diderot. Voltaire garda très-nette l'unité de la vie divine; Diderot sa multiplicité. Tous deux sentirent fortement Dieu. Tous deux furent très-unis par l'idée identique qu'ils eurent de la Justice. Contre Locke Voltaire, et Diderot contre Helvétius soutiennent la Justice absolue. Les hauts génies de cette époque, dont si complaisamment on a exagéré les dissentiments extérieurs, furent d'accord bien plus qu'on ne dit. On n'a pas assez rappelé tant d'expressions fraternelles, de mots d'admiration, de mutuelle tendresse, qui leur ont échappé. Voyez d'abord avec quelle joie toute apparition nouvelle du génie était reçue. Lorsque Voltaire, au comble de sa gloire, flatté de tant de rois, reçoit les essais d'un jeune homme inconnu, Vauvenargues, quel attendrissement paternel! quels efforts pour le produire, le faire accepter de tous! Chose touchante! il descend de sa gloire, lui dit: «J'aurais valu mieux, si je vous avais connuCe mot, c'est le destin, c'est le prix de la vie. Qu'il souffre et meure, qu'importe? Il est dans l'immortalité. Quand l'Esprit des lois apparaît dans son succès immense, Voltaire est ravi, il tressaille. Il en entreprend la défense et lance aux détracteurs un de ses beaux pamphlets. Plus tard il critiqua. Mais que sont ses critiques auprès de l'éloge excessif: «Le genre humain avait perdu ses titres. Montesquieu les a retrouvésDans la lettre Diderot défend contre Falconet l'idée de l'immortalité, il y a un mot, tendre, inquiet sur Voltaire qu'il voyait vieillir: «Quoi! faut-il qu'un tel homme meureDiderot,

Il eut des partisans très-chauds et d'ardents détracteurs, d'aucuns voulurent voir en lui un futur chef de parti, il en prenait l'essor, se remuant extraordinairement, s'agitant, écrivant, discourant.

Quelque stupides que leurs détracteurs les représentent, ils se sont montrés capables d'une très grande énergie: ils ont,

Mais, si le terrain leur manquait sur la question des houillères dont l’existence n’était plus douteuse au sein des contrées arctiques, les détracteurs prenaient leur revanche en examinant la question sous un autre aspect.

J'ai su plus tard que des métis arabes, qui nous avaient précédés, avaient répandu sur nous des propos qui nous valaient ces invectives. Suivant nos détracteurs, nous laissions derrière nous la sécheresse, nous jetions des sorts au bétail, nous semions la petite vérole, et nous devions revenir l'année suivante prendre possession du pays.

Eh! bien, disait-elle aux détracteurs du bonhomme, est-ce que nous ne devenons pas tous plus durs en vieillissant? pourquoi ne voulez-vous pas qu'il se racornisse un peu, cet homme? Taisez donc vos menteries. Mademoiselle vit comme une reine. Elle est seule, eh! bien, c'est son goût. D'ailleurs, mes maîtres ont des raisons majeures.

Il est certain, reprit Hall, que cela donne tort aux détracteurs du fameux passage.

«Courage, mon cher monsieur! vous n'êtes pas inconnu ici, votre talent y est apprécié. Quoique relégués dans une contrée lointaine, il ne faut pas croire pour cela que nous soyons, comme le disent nos détracteurs, ni indifférents, ni mélancoliques, ni (je puis le dire) des lourdauds. Courage, mon cher monsieur! continuez ce vol d'aigle! Les habitants du Port-Middlebay vous suivront

C'est en ces termes que Walt Whitman nous définit la véritable attitude que nous devrions prendre en face de son œuvre. Il a, en effet, une vue bien plus saine de la valeur et du sens de cette œuvre que ne peuvent se vanter de la posséder soit ses éloquents admirateurs, soit ses bruyants détracteurs.