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Mis à jour: 20 juin 2025


Ce regard récupéré, sorti du néant! Ce regard qu'il n'avait jamais cru revoir, qu'il imaginait délayé dans la terre, il le sentait maintenant sur lui, posé et doux, refleuri, recaressant. Regard venu de si loin, ressuscité de la tombe, et qui était comme celui que Lazare a avoir pour Jésus.

C'est un grand document, malheureusement trop délayé, le talent de Mme Sand, dans le vrai, l'observation juste des autres et d'elle-même, étonne et surprend.

Lecteur! j'ai tenu ma parole, du moins tout ce que je vous avais promis dans le chant cinquième. Vous avez eu des esquisses d'amour, de tempête, de voyage et de guerre: le tout, vous en conviendrez, dessiné avec soin et digne de l'épopée, si ma véracité n'était pas un motif d'exclusion. J'ai beaucoup moins délayé mon thème que mes prédécesseurs en poésie.

Il y a deux jours, comme il avait fait mauvais temps et que le macadam avait délayé la boue dans la rue, un de ces industriels de la rue avait imaginé de tracer dans Regent-street un chemin praticable pour les piétons. Chaque personne qui passait lui donnait un penny. Vers la fin du jour, et comme il avait amassé une assez belle recette, le balayeur, ayant quitté la place, prit son balai, et se mit

Je m'en suis assuré il n'y a pas un mois. Un hasard; j'en ai délayé une pincée dans une jatte de lait, que j'ai présentée

Florent étouffait maintenant. En face de lui, le fourneau, dans lequel Léon venait de jeter plusieurs pelletées de charbon, ronflait comme un chantre dormant au soleil. La chaleur devenait très-forte. Auguste, qui s'était chargé des marmites de saindoux, les surveillait, tout en sueur; tandis que, s'épongeant le front avec sa manche, Quenu attendait que le sang se fût bien délayé.

Ainsi, prenons Garin et Aïscha, les deux figures centrales, celles M. Paul Delair a certainement porté son effort. Je défie bien qu'au sortir de la représentation, on puisse évoquer distinctement ces figures; et cela vient de ce qu'elles n'ont pas de base humaine, de ce que le poète ne nous les a pas expliquées par une analyse logique et claire. Il ne suffit pas de dire qu'Aïscha aime les hommes rouges de sang, pour nous la faire accepter, dans les invraisemblances elle se meut. C'est elle qui pousse Garin; puis, elle s'efface, elle ne paraît plus être du drame; a-t-elle des remords, n'en a-t-elle pas? Nous l'ignorons, faute immense de l'auteur, car, si elle ne frissonne pas comme Garin, ou bien si elle ne reste pas violente et superbe, le dominant, devenant le mâle, elle ne nous intéresse plus, elle s'effondre. Et c'est ce qui arrive, le rôle est très mauvais, une actrice de génie n'en tirerait pas un cri humain. Garin de même reste un fantoche; sa lutte avec le remords ne se marque pas assez, on ne voit pas ses élats d'âme, sa passion, sa fureur, puis son affolement; tout cela se fond et se brouille dans une phraséologie étonnante, une fausse poésie délaye

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