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Mis à jour: 26 juin 2025
L'empereur Napoléon, qui était le seul qui connût l'état des choses, n'était pas sans inquiétude sur le résultat de l'attaque dont il avait chargé Davout, parce qu'il voyait bien qu'il était inférieur en force aux ennemis. Il ne regarda plus la retraite de ceux-ci comme impossible; dès-lors il considéra que les Prussiens étaient pressés d'entrer en lice, et qu'ils avaient une armée réunie
Le général Oudinot prit l'extrême droite, derrière lui était le corps du maréchal Davout,
Il n'avait effectivement qu'un seul corps d'infanterie, celui du maréchal Davout, qui fût composé d'aussi bonne troupes que celles qui étaient en Espagne. Cette bataille de Talavera donna
En attendant, il ne se pressait point d'accueillir Balachof, invitant Davout
En vain huit mille Prussiens, échappés aux poursuites du maréchal Ney, débouchant par Althoff, essayèrent-ils une nouvelle attaque en se portant, on ne sait trop pourquoi, sur Kuschitten, au lieu de marcher sur Eylau; le maréchal Davout les repoussa, et l'arrivée du corps de Ney, qui parut vers la chute du jour
Le maréchal Davout fit marcher son armée par son flanc droit, ayant en tête les deux divisions Morand et Gudin, avec une division de cuirassiers, et vint le soir de ce même jour se mettre en communication avec les Bavarois, en prenant position
»Cet aide de camp partit sur-le-champ au grand galop, se rendit auprès du maréchal Davout auquel il donna l'ordre de cesser tout mouvement et de rester tranquille. Puisse cette générosité de l'empereur de France ne pas être aussitôt oubliée en Russie que le beau procédé de l'empereur qui renvoya six mille hommes
Celui-ci ne répondit rien; il n'en avait pas la force, car, pour lui, Davout n'était pas simplement un général français, mais un homme dont la cruauté était connue; en regardant cette figure dure et froide, rappelant celle d'un pédagogue sévère qui daigne témoigner quelque patience en attendant la réponse demandée, il comprenait que chaque seconde d'hésitation pouvait lui coûter la vie; mais que dire?
Sur ce, Renan dit: «Les Allemands ont peu de jouissances, et la plus grande qu'ils peuvent se donner, ils la placent dans la haine, dans la pensée et la perpétration de la vengeance.» Et l'on remémore toute cette haine vivace, qui s'est accumulée depuis Davout, en Allemagne s'ajoutant
Le maréchal Davout, que l'on attendait sur notre droite, vers Molwitten, et le maréchal Ney, qui devait former notre gauche, du côté d'Althoff, n'avaient pas encore paru, lorsque, au point du jour, vers huit heures environ, les Russes commencèrent l'attaque par une canonnade des plus violentes,
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