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Mis à jour: 26 juin 2025


Faisant partie des comités électoraux, empoisonnant la vie de ses députés qu'il harcelait, bourrait de recommandations, chargeait de courses, il pérorait dans les réunions, parlait de notre époque qui se jette vers l'avenir, affirmait que le député, mis sur la sellette, était heureux de se retremper dans le sein de ses commettants, prônait l'imposante majesté du peuple réuni dans ses comices, qualifiait d'arme pacifique le bulletin de vote, citait même quelques phrases de M. de Tocqueville, sur la décentralisation, débitait, deux heures durant, sans cracher, ces industrieuses nouveautés dont l'effet est toujours sûr.

Cependant, sa satisfaction n'était pas complète. Il était convaincu que dans les rues, au théâtre ou dans les omnibus tout le monde le regardait, mais il avait beau passer devant des factionnaires et tourner vers eux sa boutonnière enrubannée, ils ne se mettaient jamais au port d'arme. Il apprit enfin que, depuis les honneurs militaires rendus

La puissance guerrière est une puissance toute d'impulsion, et il n'y a que la guerre dans l'esprit de parti; car tous ces principes constitués pour l'attaque, ces lois servant d'arme offensive finissent avec la paix, et la victoire la plus complète d'un parti détruit nécessairement toute l'influence de son fanatisme; rien n'est, rien ne peut rester comme il le veut.

Et se levant lentement du banc sur lequel il était retourné s'asseoir, Chicot serra son pourpoint, passa son gant d'arme, et assujettit son masque avec l'agilité d'une tortue qui attrape des mouches. Si celui-l

10 novembre. Suspension d'arme entre l'empereur et le roi de Prusse, elle reste sans effet. Prise de la ville de Posen. 11 novembre, Prise de la ville et forteresse de Magdebourg. 19 novembre. L'empereur reçoit

Je lui ai même, dans cette première année de son règne, entendu faire l'éloge et l'apologie de tant de belles choses, qu'on disait dans l'Assemblée nationale; et la note donnée au mois de décembre suivant, qui avait l'air d'une déclaration de guerre, n'aurait jamais été suivie jusqu'au bout, si ce prince eût vécu. Elle n'avait été demandée par le parti modéré, que comme une menace qui devait lui servir d'arme défensive contre les jacobins. Mais ce grand et excellent monarque mourut deux mois après, et la guerre se fit tout de suite après la mort de celui, qui l'aurait déclinée ou qui l'aurait faite tout autrement. Les émigrés et les enragés d'Allemagne, les officiers et les généraux, qui savaient que Léopold n'aimait pas la guerre, Rome et le parti des jésuites qui le détestaient, le peuple qui se rappelait Joseph II, les flatteurs du nouveau gouvernement et enfin les imbéciles qui répètent tout sans réfléchir: voil

Jacques Dumoulin s'avançait en effet le chapeau sur l'oreille, le nez rubicond et l'oeil brillant; il était vêtu d'un paletot-sac qui dessinait la rotondité de son abdomen; ses deux mains, dont l'une tenait une grosse canne au port d'arme, étaient allongées dans les vastes poches de ce vêtement.

Eh bien! oui dit-il, c'est moi, c'est bien moi!... Paddy nous avait trahis, je me suis vengé!... Et, tout frissonnant, il fit l'aveu de son crime dans ses plus petits détails. Il avait entraîné Paddy dans une rue écartée, sous un bec de gaz, et il l'avait frappé. Paddy était robuste, Paddy s'était vaillamment défendu, mais Paddy n'avait pas d'arme, et John l'avait frappé de son couteau

Si le jeune homme eût eu une arme, il eût certes, malgré la difficulté de renouveler pareille surprise, essayé, comme Maurevailles, de démonter un des muets pour fuir sur son cheval, en emmenant la marquise. Nous savons que Tony ne doutait de rien. Au besoin, il eût tenté de faire une trouée. Mais Tony n'avait pas d'arme... Rien, pas même un tronçon de lame.

Songeant qu'il n'avait pas d'arme et saisi de colère, il arracha un shorée, haut comme la cime d'une montagne. Le guerrier vigoureux tint d'une main l'arbre sourcilleux, et, poussant le plus effroyable cri, il remplit d'épouvante les Rakshasas. Ensuite il fondit sur Akampana pour le tuer, comme le Dieu courroucé de la foudre tua Namoutchi dans un grand combat. Mais le général des Rakshasas, le voyant porter haut son shorée, lui coupa de loin cette affreuse massue avec de grandes flèches en demi-lune. Hanoûmat fut saisi de stupéfaction, quand il vit cet arbre énorme qui, tranché au milieu des airs par le chef des Yâtavas, tombait, jonchant la terre de ses débris. Mais de nouveau le singe

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