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Mis à jour: 4 mai 2025
Les gens qui détestaient ces «horreurs» s'étonnaient qu'Elstir admirât Chardin, Perroneau, tant de peintres qu'eux, les gens du monde, aimaient. Ils ne se rendaient pas compte qu'Elstir avait pour son compte refait devant le réel (avec l'indice particulier de son goût pour certaines recherches) le même effort qu'un Chardin ou un Perroneau, et qu'en conséquence, quand il cessait de travailler pour lui-même, il admirait en eux des tentatives du même genre, des sortes de fragments anticipés d'oeuvres de lui. Mais les gens du monde n'ajoutaient pas par la pensée
Cette réunion de toutes personnes qui se détestaient réciproquement, et qui faisaient tant de frais pour se plaire, prouve
Cette faction implacable, composée non-seulement des émigrés, mais de tous les gens qui, en Europe, détestaient la Révolution française, cette faction, qui aurait désiré une guerre éternelle avec la France, qui avait vu avec douleur la fin de la guerre civile en Vendée, et qui voyait avec non moins de douleur la fin prochaine du schisme, assiégeait Rome de lettres, la remplissait de propos, couvrait ses murs de placards. On disait, par exemple, dans l'un de ces placards, que Pie VI pour sauver la foi avait perdu le Saint-Siége, et que Pie VII pour sauver le Saint-Siége perdrait la foi . Les invectives dont il était l'objet, n'ébranlaient pas chez ce pontife sensible, mais dévoué
Mais Ferdinand et Caroline détestaient tellement les Français et avaient juré une telle haine
Les aspirants de vaisseau détestaient leur capitaine de frégate, qui cherchait de son côté
L'Université avait deux sortes d'adversaires presque également animés contre elle, quoique très-divers: des libéraux qui la taxaient de despotisme, et des dévots qui l'accusaient d'irréligion. La constitution même, je dirais presque la physionomie de l'Université déplaisaient aux libéraux; ils n'aimaient pas ce corps enseignant qui leur rappelait ces anciennes corporations qu'ils avaient tant combattues, ni ces formes et cette discipline militaires qui préparaient les jeunes générations au régime belliqueux qu'ils détestaient dans l'
Je lui ai même, dans cette première année de son règne, entendu faire l'éloge et l'apologie de tant de belles choses, qu'on disait dans l'Assemblée nationale; et la note donnée au mois de décembre suivant, qui avait l'air d'une déclaration de guerre, n'aurait jamais été suivie jusqu'au bout, si ce prince eût vécu. Elle n'avait été demandée par le parti modéré, que comme une menace qui devait lui servir d'arme défensive contre les jacobins. Mais ce grand et excellent monarque mourut deux mois après, et la guerre se fit tout de suite après la mort de celui, qui l'aurait déclinée ou qui l'aurait faite tout autrement. Les émigrés et les enragés d'Allemagne, les officiers et les généraux, qui savaient que Léopold n'aimait pas la guerre, Rome et le parti des jésuites qui le détestaient, le peuple qui se rappelait Joseph II, les flatteurs du nouveau gouvernement et enfin les imbéciles qui répètent tout sans réfléchir: voil
J'évoque, dans mon esprit, le souvenir de tous mes camarades d'enfance, avec lesquels je me flanquais de fameuse tripotées: les Barrette, les Bazinet, les Bisson, les Terriens, et surtout les Caier. Ces derniers, deux frères, me détestaient cordialement. Ah! ça, par exemple, je le leur rendais bien. C'étaient toujours entre nous, des duels
Car, maintenant que la Maison de Brunswick est solidement établie sur le trône et que la paix règne dans le pays, il vous sera chaque année de moins en moins aisé de comprendre les sentiments des gens de ma génération, au temps où Anglais combattaient contre Anglais et où celui qui aurait dû être le bouclier et le protecteur de ses sujets, n'avait d'autre pensée que de leur imposer par la force ce qu'ils abhorraient et détestaient le plus.
Et quand je mets la petite Fadette en comparaison avec un grelet, c'est vous dire qu'elle n'était pas belle, car ce pauvre petit cricri des champs est encore plus laid que celui des cheminées. Pourtant, si vous vous souvenez d'avoir été enfant et d'avoir joué avec lui en le faisant enrager et crier dans votre sabot, vous devez savoir qu'il a une petite figure qui n'est pas sotte, et qui donne plus envie de rire que de se fâcher: aussi les enfants de la Cosse, qui ne sont pas plus bêtes que d'autres, et qui, aussi bien que les autres, observent les ressemblances et trouvent les comparaisons, appelaient-ils la petite Fadette le grelet, quand ils voulaient la faire enrager, mêmement quelquefois par manière d'amitié; car en la craignant un peu pour sa malice, ils ne la détestaient point,
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