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Parmi le rire éternel, son enseigne et sa grimace, il avait eu un vrai moment de larmes, de nature et de coeur, l'affreux désastre de Lisbonne et le début sanglant de la guerre de Sept Ans, ces grands massacres inouïs, des trente mille morts en une fois! Cela troubla l'optimisme qu'il avait professé toujours. Et plus troublé fut-il de voir une femme intéressée, violente, qui se faisait maîtresse chez lui, pouvait le renvoyer. Jusque-l

Ce matin, reprit-elle, au bruit de notre désastre, il est venu.... Ici? interrompit Maxence. Oui, mon frère, ici.... Il est arrivé au moment , insultée lâchement par M. Costeclar, je lui commandais de se retirer et , au lieu de sortir, il marchait sur moi les bras étendus.... Il a osé pénétrer ici! murmurait Mme Favoral.

C'était un rude coup pour la politique fusionniste que représentait le Spectateur; mais c'était un désastre véritable pour mon frère et moi. Justement, j'avais obtenu qu'on essayerait de lui pour la chronique, et je ne sais même plus si son premier article n'était pas déj

Nous publions en même temps les premiers documents (dessins et photographies) que nous envoient nos correspondants italiens, accourus en Calabre dès la première nouvelle du désastre: Une vue des fouilles dans les décombres

Après la guerre de Trente-Ans, la littérature naissante et les arts avaient été ensemble submergés dans le désastre public, les souverains rendus aux loisirs de la paix, les cours l'on voulait rappeler les plaisirs de l'esprit, ne trouvèrent point digne d'eux l'idiome que parlait le peuple. On prétendait se modeler sur les grands airs de Versailles, et, suivant l'exemple que donnait la diplomatie, on se mit

On se perd dans ce dédale l'on ne peut découvrir ni un calcul ni une intention raisonnable. Seulement il paraît incontestable que Napoléon, frappé de la nouvelle du désastre de la Katzbach, et ne pensant qu'

Aussitôt qu'il eut connaissance de l'effroyable désastre qui venait de désoler le sud de l'Italie, le roi Victor-Emmanuel exprima la volonté d'aller visiter en personne les victimes du cataclysme, leur porter ses consolations et ses encouragements, se rendre compte par lui-même de leur misère. Le 10 septembre, le surlendemain de la catastrophe, il quittait sa villégiature de Raconigi pour se rendre en Calabre. Tout apparat eût détonné au cours de cette visite royale aux pays éprouvés. Le roi, qu'accompagnaient seulement le général Brusati, le général Majo, le major Ravizza et le ministre de la maison royale, M. Ponzio-Vaglia, distança plus d'une fois cette suite restreinte pour s'aventurer seul entre les ruines amoncelées, parmi les pauvres gens éplorés que le plus infime fonctionnaire de village n'avait guère de peine

C'est après ce dernier désastre, et lorsqu'il allait avoir vingt-neuf ans, que, désespéré, sans positions, sans fortune, il se décida

Et, du coron entier, monta bientôt le même cri de misère. Les hommes étaient rentrés, chaque ménage se lamentait devant le désastre de cette paie mauvaise. Des portes se rouvrirent, des femmes parurent, criant au-dehors, comme si leurs plaintes n'eussent pu tenir sous les plafonds des maisons closes.

Cependant, de vives et nouvelles lueurs les réveillent encore; ils voient d'autres flammes s'élever précisément dans la nouvelle direction que le vent venait de prendre sur le Kremlin, et ils maudissent l'imprudence et l'indiscipline française, qu'ils accusent de ce désastre. Mais trois fois le vent change ainsi du nord