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Mis à jour: 7 juin 2025
Plus maintenant, c'est fini. Mais pourtant, il travaille, ses livres se vendent, vous ne dépensez rien...»
Voici la première: Que la probité et le travail soient vos compagnons assidus. Et la seconde: Dépensez un sou de moins par jour que votre bénéfice net.
Le grand secret de la politique, disait-il, c'est l'économie. Dépensez peu et vous serez toujours riches. Avant longtemps le coffre public sera plein car nous allons émonder sérieusement. La politique, c'est un arbre. Si vous voulez qu'il croisse vite et monte haut, taillez-le, coupez les branches inutiles, émondez! C'est ma devise.
Ce sont des faits de statique, sur lesquels vous dépensez de la colère. La force des choses se gouverne par A+B, et les déplacements du pendule tiennent peu de compte de votre mécontentement.
Ah! vous êtes contente! s'écria le chanoine d'un ton tragi-comique. Eh bien, j'en suis fort aise! Mais veuillez remporter cette bourse et ce marmot. Dépensez l'argent, élevez l'enfant, ceci ne me regarde en aucune façon.
Allez dans le monde, dépensez de l'argent, faites du bruit: ce bruit vous empêchera d'entendre la plainte de votre cœur meurtri... Lancez votre peine dans le tourbillon du plaisir; fatiguez-la, harassez-la; la lassitude, c'est le sommeil, et le sommeil, c'est l'oubli... D'ailleurs, nous ne tarderons pas
« Quel âge avez-vous? me demanda-t-il brusquement. « Vingt-six ans, lui répondis-je. « Vous travaillez trop, reprit-il. Vous vous dépensez trop vite et trop tôt. Prenez garde, économisez-vous. «Je ne comprenais guère, me sentant jeune et vigoureux, sous cette réserve qu'après l'effet singulier dont je viens de te parler je ressentais une sorte de lassitude, comme après un excès.
Vous avez donc oublié que je vous connais, que votre passé n'a pas de secret pour moi, que je sais qui vous êtes et quel nom déshonoré vous cachez sous votre nom et votre titre d'emprunt!... Je puis dire, moi, comment vous vous êtes marié, comment après avoir lâchement abandonné votre femme et votre enfant, vous les laissez mourir de misère et de faim... Je puis dire d'où vous tirez les trente ou quarante mille francs que vous dépensez par an... Vous ne vous souvenez donc plus de tout ce que Rose m'a raconté... monsieur... Paul!...
Il prit le bras de Paul et lui fit visiter en détail l'appartement. Vous le voyez, disait-il, on n'a rien oublié, on vous croirait ici depuis des siècles. Bien plus, comme, en garçon rangé que vous êtes, vous ne dépensez pas ce que vous gagnez, vous trouverez dans le tiroir de votre bureau huit obligations d'Orléans et un millier de francs, ce sont vos économies.
Tertio. Veilles prolongées! Au lieu d'employer la nuit au sommeil, vous la dépensez en lectures; votre alcôve est une bibliothèque, votre oreiller un pupitre! A l'heure où le cerveau fatigué demande du repos, vous le conduisez
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