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Mis à jour: 28 juillet 2025
Quand les soldats d'Holkar parurent, quarante-trois carabines anglaises se montrèrent
«Le colonel Barclay, dit-il, a promis dix mille livres sterling si on lui ramène vivante la fille d'Holkar. Mais nous n'avons rien
Il avait d'ailleurs besoin d'infanterie et d'artillerie pour entamer un siége régulier. Ce n'est pas que la place fût très-forte. Ses remparts dataient du temps où les ancêtres d'Holkar, princes de la confédération des Mahrattes, tenaient tête
Aussitôt les soldats d'Holkar commencèrent
«J'aurais mieux fait, pensa-t-il, d'épouser Sita et de chercher sans retard le fameux Gouroukamta que d'accepter ainsi sans réflexion l'héritage d'Holkar; mais enfin, le vin est tiré, il faut le boire. Il faudrait que je fusse bien malheureux pour n'être pas plus honnête homme que mon prédécesseur ou que le glorieux Aurengzeb. D'ailleurs, j'ai cru deviner, quand Barclay m'a quitté, que ce rancuneux Anglais, qui m'en veut de l'avoir mis
Il parlait encore lorsque les cavaliers d'Holkar amenèrent un courrier intercepté qui portait une dépêche au camp anglais. Corcoran rompit le cachet et lut tout haut ce qui suit: «Lord Henry Braddock, gouverneur général de l'Hindoustan, au colonel Barclay.
Le moment décisif approchait. Corcoran jeta un coup d'oeil sur Sita pour l'avertir de se tenir prête pour la fuite. Celle-ci avait les yeux fixés sur un des Indiens qui suivaient l'escorte et qui conduisaient les chariots anglais. Corcoran regarda du même côté et s'aperçut avec étonnement que l'Indien et la fille d'Holkar échangeaient, sans mot dire, des signes d'intelligence.
Voici en résumé quel était le plan de Napoléon, dont une copie fut remise au père d'Holkar par un agent secret qui traversa toute l'Inde déguisé en fakir: «Napoléon, partant de Dresde, alla rejoindre son armée sur le Niémen. De l
Corcoran, resté seul avec la fille d'Holkar, s'assit près d'elle et lui dit: «Chère Sita, je me souviendrai longtemps du bonheur que je goûte ce soir près de vous.... Seigneur Corcoran, répondit la princesse, il me semble que j'ai toujours vécu ainsi, et que ma vie passée, si paisible et si douce, n'était qu'un rêve auprès de ce que j'ai vu et senti depuis hier.
Puis se retournant vers Sougriva: «Mon ami, dit-il, Louison et moi, nous ne sommes pas de ces gens qu'un rien effraye, et si outre le royaume d'Holkar, on nous offrait la Chine, l'Indo-Chine, la presqu'île de Malacca et tout l'Afghanistan
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