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Mis à jour: 20 juin 2025
Nous croisons en chemin le train de M. Gambetta, mais un signal le fait arrêter. Il n'est plus temps d'entrer
«Je sais ce que c'est, mistress, dit-il. Si nous n'avons pas encore rencontré des indigènes sur notre route, nous croisons en ce moment un sentier qu'ils ont l'habitude de suivre, et, comme nos boeufs ont flairé leurs traces, ils refusent d'aller au del
11 juillet. Le relief des terres, autour de nous, a bien grandi. Nous naviguons maintenant dans un chenal tournant, qui se resserre ou qui s'ouvre, qui fait l'écluse ou qui fait le lac, entre des îles rocheuses, hautes de deux ou trois cents mètres, peut-être plus, stériles, désertes, mais vêtues de lumière et de brume, ce qui est un beau vêtement. Partout, la roche a été limée et rayée par les glaces, il n'y a plus de terre sur les sommets, et les quelques brins de mousse qui poussent dans les fentes ne modifient pas le ton général. Toute la végétation est descendue dans un cirque étroit entre deux promontoires, sur un talus d'éboulis au ras de l'eau. C'est une simple coulée d'herbe, mais d'un vert qu'on ne voit point ailleurs, d'un vert ardent, limpide comme celui du spectre solaire, et qui seul affirme la vie, au pied des monts dentelés où tout le reste est gris, gris bleu, gris mauve, gris rose. Aile de mouette est ici une couleur répandue; ventre de mouette aussi, car les sommets ont encore des bancs de neige. Du côté de la grande terre, ils forment presque toujours trois ou quatre plans, et beaucoup plus quand la trouée d'un fjord coupe en deux les barrières. La mer est très bleue. L'enchantement de l'été vient jusqu'au nord. De très loin en très loin, on découvre un groupe de maisons et des poteaux télégraphiques au bord de l'eau. De quoi vivent les habitants? «Presque entièrement de la pêche, dit Nordenskjöld, et un peu du produit de la culture.» Quand nous croisons un de leurs canots, très fins
Sous les cloîtres, en passant, nous croisons des gens qui en reviennent, des pèlerins russes dont les yeux, il est vrai, sont voilés de larmes, mais surtout des touristes bavards tenant en main leur Bædeker... Mon Dieu est-ce possible, que ce soit l
C'est aujourd'hui la matinée des ânes, car nous en croisons des milliers, des cortèges d'une lieue de long, qui s'en reviennent d'Ispahan où ils avaient charroyé des marchandises, et s'en reviennent en flâneurs, n'ayant plus sur le dos que leur couverture rayée de Chiraz. Quelques-uns, il est vrai, portent aussi leur maître qui continue son somme de la nuit, enveloppé dans son caftan de feutre, étendu
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