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Mis à jour: 7 juillet 2025
Des courses continuelles, des missions et des prédications qui ne furent pas toutes sans fruits, des tentatives civilisatrices très diverses, des combats de terre et de mer, des aventures souvent invraisemblables, des succès, des revers, des négociations et des entreprises de tous genres occupèrent Sans-Peur le Corsaire et ses alliés pendant les sept années pacifiques du gouvernement de don Ramon.
A l'aspect de ce néant, les voix de tous les marins du corsaire qui n'est plus s'élèvent pour la dernière fois, et l'on entend partir de toutes les embarcations ce cri lamentable: Plus de Capitaine-Noir! plus de Fantôme!!! Le Négrier le Revenant, SCÈNE DE MER DE LA C
Le corsaire n'aurait pas fini si tôt ses remontrances, s'il n'eût été interrompu par le prince Heureux.
Don Ramon, marquis de Garba y Palos, fils de l'ancien gouverneur de Cuzco, avait pour sœur une métisse, laquelle était la femme du corsaire Sans-Peur, s'intitulant le Lion de la mer. Don Ramon devait être le complice des rebelles. Ceci s'appelle presser les conclusions.
La baie de Quiron, où le brig corsaire le Lion venait de jeter l'ancre, était sans contredit le point du littoral le plus dévasté par les convulsions souterraines.
Il aurait suffi que notre capitaine, qui n'était pas très-patient, eût entendu un seul des propos que tenait maître Révolté, pour que notre pacifique navire devînt, comme autrefois le corsaire le Mange-Tout, le théâtre d'une rébellion en mer. Belle perspective!
Adrien le Nantonnier, émigré en Angleterre, veut passer en Hollande, il est pris par un corsaire algérien et meurt en esclavage, après avoir passé plusieurs années dans les fers. De ses dix enfants, un seul, son fils aîné, est converti et reste en France, ses quatre grandes filles et deux de ses fils déportés en Amérique comme opiniâtres, parviennent
Mon projet n'est pas non plus de prendre ici le commandement du corsaire. J'irai l'attendre
»J'ai reçu hier une lettre de Murray. Des falsificateurs viennent de publier deux nouveaux troisièmes chants de Don Juan. Que le diable châtie l'impudence de ces coquins de libraires! Peut-être ne me suis-je pas bien expliqué. Il m'a dit que la vente avait été forte: douze cents in-quarto sur quinze cents, je crois; ce qui n'est rien, selon moi, après avoir vendu treize mille exemplaires du Corsaire, dans un seul jour. Mais il ajoute que les meilleurs juges, etc., etc., disent que cela est très-beau, très-spirituel, que la pureté du langage et la poésie en sont surtout remarquables, et autres consolations de ce genre, qui, pour un libraire, n'ont pas la valeur d'un seul exemplaire; et moi, comme auteur, naturellement je suis d'une colère de diable du mauvais goût du siècle, et je jure qu'il n'y a rien
J'espère qu'on imprime le Corsaire d'après l'exemplaire que j'ai corrigé, avec les vers ajoutés au premier chant, et quelques notes de Sismondi et de Lavater que je vous ai envoyées pour les y joindre. L'ordre que vous avez adopté est très-bon.
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