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Mis à jour: 27 juin 2025
Un petit Hercule en bronze d'un travail fort précieux, un petit Bacchus charmant, beaucoup de médaillons antiques, etc., etc.; mais le Corrége!... le Corrége est la grande gloire de Parme.
Je le reconnais. Saint-Cyr de Rayssac a bien des défauts: chez lui, l'expression est parfois molle et incertaine. Mais il est simple, naturel, harmonieux; il a le goût excellent, le style pur, le vers facile et chantant. N'est-ce donc rien que cela? Il est profondément, intimement poète. Il a des images neuves. N'eût-il écrit que ces trois vers, sur la Madeleine du Corrège, je l'aimerais de tout mon coeur: La voil
Debout dans sa conque nacrée, Elle vogue sur le bleu clair. Comme une Aphrodite éthérée, Faite de l'écume de l'air; On voit onder en molles poses Son torse au contour incertain, Et l'aurore répand des roses Sur son épaule de satin. Ses blancheurs de marbre et de neige Se fondent amoureusement Comme, au clair-obscur du Corrége, Le corps d'Antiope dormant.
Raphaël et Corrège, amants et poëtes, avaient répandu sur le front de leurs vierges une douceur plus mélancolique et une plus humaine tendresse pour la Divinité; ce n'est pas le ciel seul qu'elles contemplent, c'est Jésus, Dieu d'amour et de pardon, qu'elles caressent saintement.
A cet instant il vit apparaître, comme dans un songe, une jeune fille vêtue d'une robe blanche, qui débusquait d'une avenue de tilleuls et venait vers la grille d'un air recueilli. Elle avait vingt ans. Elle était belle comme si elle fût sortie des mains du Corrège; elle était pure comme si elle fût sortie des mains de Dieu. Praxitèle, qui n'a jamais trouvé son idéal, se fût incliné devant elle.
J'ai été amoureux de la Vénus de Milo et d'une nymphe du Corrège. Ce n'étaient certes pas les charmes de leur conversation et la soif d'échange intellectuel qui m'attiraient vers elles; non, c'était l'affinité physique, le seul amour connu des anciens, l'amour qui faisait des artistes. Aujourd'hui, tout est devenu tellement compliqué, que l'on ne sait plus où donner de la tête; les neuf dixièmes des gens ne comprennent plus rien
En peinture, Giotto et Corrège avaient donné un exemple, dont les autres, plus tard, donnèrent la preuve.
Quand on quitte le Lutrin vivant et le Carême impromptu pour lire la Chartreuse, on croit contempler un tableau du Corrège après avoir examiné des peintures de Calot. Ce n'est plus seulement ici une production légère, c'est un ouvrage intéressant, qui n'a de commun avec les poésies qui portent ce nom que l'aisance et l'agrément. Quelle gaieté et quelle douceur de sentiment! Quelle heureuse négligence et quelle étonnante richesse! Quelles vives saillies et quelle philosophie! Jamais on ne vit la raison badiner avec tant de grâces et parler un langage si aimable, si propre
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