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Mis à jour: 6 juillet 2025
Cette haleine qui m'enivre, amère et chaude, que je bois avec âme? Cette force qui me briserait si tu voulais, et que tu convertis en grâces et en souplesse; cette taille, pour laquelle j'aurais de la jalousie si j'étais femme? Je t'aime comme cela. Tu n'es pas une jeune fille fière de son innocence, digne d'être admirée seulement; un ange, peut-être, mais pas encore une femme. Tu as aimé: tu inspires l'amour, tu en permets les caresses. Si l'amour n'est qu'une ardente réalité, l'amour, c'est toi; et s'il est un autre amour plus pur qui impose des sacrifices, des résistances, celui-l
En 1700 l'intendant de Montauban écrit encore au contrôleur général: «La première démarche de les engager (les nouveaux convertis) par la douceur
Quant aux missionnaires, ils composaient deux grandes familles rivales: 1º les Récollets, pieds nus de saint François, qui avaient plus de cinq cents couvents dans le Nouveau Monde, moines grossiers et illettrés, agréables aux sauvages pour leurs pieds nus, mais peu réservés dans leurs moeurs; 2º les Jésuites, plus décents et plus politiques, prudents avec les femmes, ne vivant qu'avec leurs élèves convertis, les jeunes sauvages.
«Votre comité a poursuivi ses agréables travaux, durant le mois passé, et a l'inexprimable plaisir de vous rapporter les cas suivants de nouveaux convertis
Cet étrange édit apporta un trouble si profond dans le commerce qu'on fut bientôt obligé de décider que cette surséance du paiement des dettes ne pourrait être invoquée ni entre les nouveaux convertis, ni par les marchands convertis, pour les affaires qu'ils avaient avec l'étranger.
Sauf le parti militaire de l'émigration, les réfugiés, ainsi que les nouveaux convertis, n'attendaient la restauration du culte protestant en France que d'un changement de politique qui serait spontanément adoptée par le gouvernement ou qui lui serait imposé par un traité conclu avec les puissances protestantes.
Louvois, de son côté, avait fait pour l'armée de terre ce que Seignelai faisait pour la marine. «Le roi, écrivait-il, disposera des emplois des officiers qui n'auront pas fait abjuration dans un mois. Les derniers ne jouiront pas de la pension que Sa Majesté accorde aux nouveaux convertis.»
Le général, donc, ne leur a pas caché l'enthousiasme dont il est l'objet: il n'a pas gardé le secret aux nouveaux et subitement convertis.
Pour empêcher les maîtres d'user de leur crédit près de leurs domestiques et de faire du prosélytisme auprès d'eux, on eut recours aux injonctions les plus contradictoires. Un domestique catholique ne put abjurer que six mois après avoir quitté le service d'un maître huguenot, et il devait s'écouler un nouveau délai de six mois avant que ce domestique pût entrer au service d'un autre huguenot. Puis on interdit aux catholiques d'entrer au service des huguenots «attendu, disait l'édit, que plusieurs de la religion prétendue réformée, après avoir perverti leurs domestiques catholiques, les obligent de passer dans les pays étrangers pour quitter leur religion.» Quelques mois plus tard, nouvel édit ordonnant au contraire, aux huguenots et aux nouveaux convertis, de congédier leurs domestiques protestants pour en prendre des catholiques, «attendu que ce qui était très utile alors (six mois plus tôt) pour empêcher la perversion de nos sujets catholiques, dit la déclaration royale, pourrait retarder
Sa piété était un peu exaltée comme celle des convertis, en général, mais elle était sincère, et, le grand jour arrivé, Gilberte s
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