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Vous parlez en jeune soldat. Je suis homme, et non soldat. Ne prononcez pas ce mot, je le hais, et ceux qui se font orgueil de l'être; contentez-vous de me conduire sur leurs traces. Vous devez vous défendre d'une témérité qui exposerait votre vie.

«Contentez-vous d'aimer, nous dit l'auteur; c'est l

Qu'est-il besoin de croire? reprit la religieuse avec feu. Contentez-vous d'espérer! Dans le triste temps nous virons, je crains qu'ils ne mentent aux autres ou qu'ils ne se mentent

Non, jamais vous ne ferez entrer ces choses dans la tête d'une fille de Rome... Aimez-nous donc, contentez-vous donc de nous aimer telles que nous sommes, belles de toute notre force, autant que nous pouvons l'être! Et elle était si belle

Vous m'avez recommandé de vous décrire notre maison, pour que votre pensée sache me trouver lorsqu'il lui plaît de me faire une visite. M. de Villanera, qui dessine très-bien pour un grand seigneur vous enverra le plan du château et du jardin. J'ai pris sur moi de lui demander cette grâce; il fallait bien que cela fût pour vous. En attendant, contentez-vous de savoir que nous habitons une ruine des plus pittoresques. De loin, la maison ressemble

C'est que je redoute sa fureur, et que d'un autre côté, il me répugne de lui remettre la camisole de force. Laissez-le libre dans sa cellule, dit M. Segmuller, recommandez qu'on le traite doucement, et contentez-vous de faire exercer sur lui une incessante surveillance.

Aussi, je l'accepte pour moi, dit Roland. Oui, fit Cadoudal; mais vous n'êtes pas le général Hatry; contentez-vous donc, pour le moment, d'être son parlementaire, et, si cette proposition, qu'

Contentez-vous, monsieur: voici une plaine qui me paraît favorable.

Il se leva et, prenant le bras de Larsonneau, se dirigeant vers le salon: Vous m'avez bien compris, n'est-ce pas? Contentez-vous de suivre mes instructions, et vous m'applaudirez après.... Voyez-vous, mon cher, vous avez tort de porter des gants jaunes, c'est ce qui vous gâte la main.

Alors, simultanément, ils se tournaient vers moi. «Ne faites pas de sottises, disait ma tante, et n'allez pas dans le potager. Ne mettez pas le désordre dans ma cuisine, criait Suzon, et contentez-vous du veau froid pour déjeunerLe curé ne soufflait mot, mais il m'envoyait un aimable sourire et faisait un geste qui voulait dire: «Elle n'a pas voulu, mais je vous aurais bien emmenée, moi