Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 11 juillet 2025


Elle voyait toutes ses contemporaines partir en riant pour les régions soi-disant enchantées du mariage et de la liberté, et elle restait seule sur le rivage désert Thésée non seulement ne revenait pas la prendre, mais ne venait même pas l'abandonner. Elle n'avait d'Ariane que le désespoir; elle n'avait pas ses souvenirs.

La Pologne eut bien des chantres; elle en a qui prennent rang et place parmi les premiers poètes du monde. Plus que jamais ses écrivains s'efforcent de faire ressortir les côtés les plus remarquables et les plus glorieux de son histoire, les côtés les plus saisissants et les plus pittoresques de son pays et de ses mœurs. Mais Chopin, différant d'eux en ce qu'il n'en formait pas un dessein prémédité, les surpassa peut-être en vérité par son originalité. Il n'a pas voulu, n'a pas cherché ce résultat; il ne se créa pas d'idéal a priori. Son art semblait de prime abord ne point se prêter a une «poésie nationale»; aussi ne lui demanda-t-il pas plus qu'il ne pouvait donner. Il ne s'efforça pas de lui faire raconter ce qu'il n'aurait pas su chanter. Il se souvint de ses gloires patriotiques sans parti pris de les transporter dans le passé; il comprit les amours et les larmes contemporaines sans les analyser par avance. Il ne s'étudia, ni ne s'ingénia

»Des cryptes de la Cité, passons dans celles des bâtiments de l'autre rive. »Ici, les basses-oeuvres sont contemporaines des constructions qu'elles supportent; elles sont donc beaucoup plus modernes que celles d'en face; pourtant elles comptent deux cent vingt ans d'existence.

Non, cela est vrai; mais vous m'accorderez du moins qu'une telle entreprise sera singulièrement difficile dans les sociétés politiques contemporaines, telles qu'elles sont organisées. Et pourquoi? Ces sociétés ne sont-elles pas, comme de tout temps, en proie

Je ne voudrais pas abuser de ces rapprochements avec des œuvres contemporaines, mais il en est encore un dont je ne puis me défendre. J'ai fait voir combien cette scène de l'aveu avait paru extraordinaire aux contemporains de Mme de la Fayette, et quelles discussions elle avait suscitées. C'était une des critiques sur lesquelles insistait le plus l'auteur des Lettres

«6° Les espèces n'ont pas varié davantage durant les périodes géologiques qui ont précédé la nôtre. Les espèces vivant durant ces périodes n'ont pu, en conséquence, produire en se transformant celles qui sont nos contemporaines .

«Si, en descendant des espèces prochaines de relatifs, par les genres secondaires et les sous-espèces, aux individus, nous trouvons que les espèces, contemporaines d'un même genre, ne sont pas relatives entre elles, mais que ce sont les espèces de l'un des genres divisant qui sont relatives aux espèces d'un autre, sous le même genre suprême (comme le sont les espèces de l'animé et de l'inanimé entre elles), deux espèces existant entraînent nécessairement l'existence de toutes les autres. Si au contraire les espèces d'une espèce la plus prochaine sont relatives ans espèces d'une autre espèce la plus prochaine (comme les espèces du corps aux espèces de l'esprit), cette nécessité n'existe pas. Notez bien que le genre le plus général du prédicament cette condition se réalise est contenu dans deux espèces; mais aussi, ou nous sommes en ceci plus subtil qu'il ne faut, ou, pour conserver l'autorité sauve, il faut dire qu'elle n'a pas regardé aux genres de tous les prédicaments. C'est ainsi qu'il soutient dans beaucoup de ses ouvrages que toute espèce est constituée de la matière du genre par la forme de la différence; ce qui ne peut,

Pour cela, il suffit de remarquer que la proposition générale n'est point la véritable preuve de la proposition particulière. Elle le paraît, elle ne l'est pas. Ce n'est pas de la mortalité de tous les hommes que je conclus la mortalité du prince Albert; les prémisses sont ailleurs, et par derrière. La proposition générale n'est qu'un mémento, une sorte de registre abréviatif, j'ai consigné le fruit de mes expériences. Tous pouvez considérer ce mémento comme un livre de notes vous vous reportez quand vous voulez rafraîchir votre mémoire; mais ce n'est point du livre que vous tirez voire science: vous la tirez des objets que vous avez vus. Mon mémento n'a de valeur que par les expériences qu'il rappelle. Ma proposition générale n'a de valeur que par les faits particuliers qu'elle résume. «La mortalité de Jean, Thomas et compagnie est après tout la seule preuve que nous ayons de la mortalité du prince Albert.» «La vraie raison qui nous fait croire que le prince Albert mourra, c'est que ses ancêtres, et nos ancêtres, et toutes les autres personnes qui leur étaient contemporaines, sont morts. Ces faits sont les vraies prémisses du raisonnementC'est d'eux que nous avons tiré la proposition générale; ce sont eux qui lui communiquent sa portée et la vérité; elle se borne

Je vous en donnerais bien d'autres!... Il est difficile, en général, d'imaginer des drôles plus fangeux que ces hommes d'église. Ils sont les dignes pasteurs des âmes contemporaines. Leurs moeurs! Comment voulez-vous qu'ils en aient? La morale pétrifiée dont ils sont les gardiens et les docteurs ne saurait faire d'eux que des saints ou des fripons. La moralité peut seulement exister avec la liberté; elle doit sortir de cette liberté, et s'y greffer, non pas immuable, mais variable, en concordance avec l'état général de culture de l'humanité. Il y a des saints, dans le clergé; très peu, mais il y en a. Ce sont des monstres,

Brantôme (rue): P. de Bourdeilles, seigneur de Brantôme (1527-1614), gentilhomme gascon, est auteur de nombreux écrits qui se distinguent par le style original et verveux, mais trop souvent le lecteur honnête regrette le choix du sujet, les épisodes et les détails scabreux de moeurs contemporaines que la liberté ou mieux la crudité du langage gaulois ne met que trop en relief. Ce reproche s'adresse beaucoup moins aux Vies des grands capitaines français et étrangers qu'

Mot du Jour

qu'oublieuse

D'autres à la Recherche