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Contemplez la scène qui se joue déj

Cherchez par le monde les bois mystérieux, les rivières qui chantent dans la vapeur blanche du matin, autour de leurs îles fleuries; voyez, du haut des montagnes neigeuses bondir de cime en cime la rose aurore, attendez dans un vallon ombreux la paix du soir; contemplez la terre et le ciel: partout, torride ou glacée, la nature ne vous montrera rien que l'amour et la mort.

[Note 27: Voici la traduction aussi littérale que possible de ce morceau: «Sur Fonde joyeuse de la mer azurée, sans bornes comme notre esprit et nos âmes, aussi loin que peut souffler la brise, et que la vague écumante peut mugir, contemplez notre empire, voyez notre demeure! C'est l

Ce second cavalier marque bien, ce me semble, le temps l'hôtel de Cluny fut meublé des débris du moyen âge et devint un musée. Mais c'est le troisième cavalier... excusez-moi, le «tiers cavalier» qui révèle tout un idéal. Contemplez, je vous prie, ce tiers cavalier: Pour le tiers cavalier, c'est un homme de pierre, Semblant le Commandeur, horrible et ténébreux; Un hyperboréen, un gnome sans paupière, Sans prunelle et sans front, qui résonne le creux Comme un tombeau vidé lorsqu'une arme le frappe. Il porte

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Contemplez du matin la pureté divine, Quand la brume en flocons inonde la ravine, Quand le soleil, que cache

Venez, vous les heureux du monde et contemplez ce tableau. C'est le temps de fêter, de danser, de vous réjouir; c'est le temps de vanter les charmes de la vie; mais avant que vous ne vous soyez plongés trop avant dans l'ivresse de vos plaisirs, détournez-vous un instant du sentier jonché de fleurs vous passez l'existence et jetez les yeux de ce côté.

Pleureuses des beaux soirs voisins de l'Orient, Déchirez vos cheveux, égratignez vos joues, Pour tous les insensés qui marchent en riant, Pour l'amante qui chante, et pour l'enfant qui joue. O folles! aux judas de votre âpre maison Posez vos yeux sanglants, contemplez le rivage: C'est l'effroi, la stupeur, l'appel, la déraison, Partout sont des mains, des yeux et des visages.

«Près de vous, aile bénie, Lys enchanté, Qu'est-ce, hélas! que le génie Et la beauté? «Fleur pure, alouette agile, A vous le prix! Toi, tu dépasses Virgile; Toi, Lycoris! «Quel vol profond dans l'air sombre! Quels doux parfums! » Et des pleurs brillent sous l'ombre De vos cils bruns. Oui, contemplez l'hirondelle, Les liserons; Mais ne vous plaignez pas, belle, Car nous mourrons!

»Si vous les voyez en économiste, elles vous désoleront; si vous les contemplez en artiste, en poète, et même en philosophe, vous ne voudriez peut-être pas qu'elles fussent autrement.

«Voulez-vous maintenant demander historiquement aux faits la confirmation de la théorie? Contemplez cet interminable défilé des inventeurs de systèmes cornus pour l'impossible «direction des ballons