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Elle condamna ceux qui rappelleraient dans les actes les titres supprimés, comme anciennement existants,

En 1256 ou 1257, il rendit un arrêt contre le seigneur de Vesnon, par lequel il le condamna

Mentor retrancha ensuite la musique molle et efféminée, qui corrompait toute la jeunesse. Il ne condamna pas avec une moindre sévérité la musique bachique, qui n'enivre guère moins que le vin, et qui produit des mœurs pleines d'emportement et d'impudence. Il borna toute la musique aux fêtes dans les temples, pour y chanter les louanges des dieux et des héros qui ont donné l'exemple des plus rares vertus. Il ne permit aussi que pour les temples les grands ornements d'architecture, tels que les colonnes, les frontons, les portiques; il donna des modèles d'une architecture simple et gracieuse, pour faire, dans un médiocre espace, une maison gaie et commode pour une famille nombreuse; en sorte qu'elle fût tournée

Une commission militaire le condamna

Il apportait dans ce jour la même expression de visage que la veille, une extrême impassibilité . Je crois en vérité qu'il ne pensait avoir fait ni une mauvaise action, ni un acte de dévouement, en présidant la commission militaire qui condamna le prince. Depuis, il a vécu assez simplement.

Il se constitua prisonnier, le conseil de guerre le condamna

C'est le peuple qui la jugera, dit-il. Le peuple la condamna, elle devait être brûlée vive.

Elinor éprouva bientôt la différence qu'il y a entre l'attente d'un fâcheux événement, et la certitude; elle s'avoua qu'en dépit de sa raison elle avait toujours admis un léger espoir, tant qu'Edward ne serait pas marié, qu'il arriverait quelque chose qui romprait son mariage avec Lucy, soit des réflexions sur le caractère de cette jeune personne, soit la médiation de quelques amis, soit quelque établissement plus avantageux pour Lucy..... Mais actuellement tout était fini; ils étaient mariés, et elle condamna son propre coeur de cette flatterie cachée qui augmentait encore sa peine. Jamais elle n'avait mieux senti combien Edward lui était cher, qu'au moment elle devait y renoncer pour toujours. Dans les commencemens de son inclination pour lui, elle s'y abandonna sans crainte; il ne lui vint pas alors dans l'esprit qu'il y eût des obstacles

Cette réconciliation du 4 février, qui aurait pu avoir de si grands résultats, fut donc vaine et inutile. Le procès de Favras fut achevé, et soit crainte, soit conviction, le Châtelet le condamna

La sentence fut rendue le 16 avril 1800: elle condamna les coupables