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Mis à jour: 24 juin 2025


Sainte-Beuve observe justement que Balzac a gâté par sa conclusion cette merveille, que représente la première partie du roman.

Il posa quelques-unes de ces questions que les médecins ont l'habitude de faire; la patiente répondit promptement et avec clarté; sa conclusion fut que cette dame étrange était, au moral comme au physique, en parfaite santé. Il se mit ensuite

Une digression qui, en même temps qu'elle ferme le cercle des considérations qui précèdent, en supprimant la dernière contradiction entre la conclusion et les prémisses, nous permettra d'aborder les considérations empiriques qui vont suivre.

Il en tira facilement cette conclusion, que les deux premiers artistes subventionnaient

Alors, quelle est la conclusion que vous en tirez? questionna gravement le comte de Flammermont qui semblait suivre avec un grand intérêt les explications du vieillard.

Après un intervalle de huit années entre la composition des premiers et du dernier chant de Childe Harold, la conclusion du poème va être soumise au public. En me séparant d'un si vieil ami, il n'est pas extraordinaire que je m'adresse

Vient ensuite un chapitre sur les terminaisons. Il y a six pages de mots lapons et hongrois, qui n'ont pas du tout le même sens, mais qui, au dire de l'auteur, présentent des terminaisons semblables en as, es, is, os, etc. Ces pages sont précédées de quatorze lignes de texte dans lesquelles il prie le lecteur de remarquer les similitudes. On peut répondre que, si même les terminaisons se ressemblaient plus encore, il ne faudrait pas en tirer une conclusion, car des mots peuvent se terminer de la même manière dans deux langues sans que ces langues soient sœurs. Ce qui le prouve, c'est qu'entre la colonne laponne et la colonne hongroise se trouve une colonne de mots latins, qui donnent le sens des mots cités, et que parmi ces mots latins il y en a qui sont terminés en es, d'autres en is, lesquels font au pluriel es, c'est-

»Cette enquête n'impose pas sa conclusion comme une conclusion nécessaire (ainsi qu'il arrive en géométrie): l'assentiment de l'esprit

Le père Ferrari, pour mieux faire apprécier le mérite de sa publication, avait envoyé au Poussin, sous les auspices du commandeur del Pozzo, dans les premiers jours de janvier 1642 , le frontispice du livre des Hespérides, composé par Pierre de Cortone, et quatre feuilles de miniature représentant un citron coupé de différentes manières, avec l'explication de la formation de ce fruit. Le Poussin traita secrètement l'affaire, d'abord avec M. de Chantelou, ensuite avec M. de Noyers. Il lui remit le frontispice et les quatre miniatures avec leur explication, et sur la parole de M. de Chantelou, il se flattait qu'on ferait ce que le bon père et le commandeur désiraient, et que le prix de la dédicace serait bientôt convenu et la somme remise . Il n'en fut cependant pas ainsi: la cour quitta Paris, et le Poussin, pendant le peu de temps qu'il resta encore en France, ne put obtenir du cardinal de Richelieu la conclusion, de cette affaire. Après avoir vainement attendu plusieurs années, le père Ferrari dut se résigner

Cette conclusion est encore corroborée par le fait que, dans ce genre de perversion, le coït est quelquefois dédaigné comme un acte inadéquat et que, dans de pareils cas, il se produit souvent une exaltation fantastique de l'idéal pervers.

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