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Mis à jour: 24 juillet 2025
Mon Dieu, dit le comte de Moras sur un ton de conciliation,
Il y réussit, car, peu de temps après, je vis entrer dans ma chambre monsieur de La Rue, aide de camp du maréchal. Il l'envoyait me dire qu'il était trop tard. Toutes les propositions de conciliation avaient été vainement tentées; les ordres de Saint-Cloud étaient impératifs, il ne lui restait plus qu'
L'homme est le vainqueur des chimères, la nouveauté de demain, la régularité dont gémit le chaos, le sujet de la conciliation. Il juge de toutes choses. Il n'est pas imbécile. Il n'est pas ver de terre. C'est le dépositaire du vrai, l'amas de certitude, la gloire, non le rebut de l'univers. S'il s'abaisse, je le vante. S'il se vante, je le vante davantage. Je le concilie. Il parvient
Les années usent les partis, mais il en faut beaucoup pour les épuiser. Les passions ne s'éteignent qu'avec les coeurs dans lesquels elles s'allumèrent. Il faut que tout une génération disparaisse; alors il ne reste des prétentions des partis que les intérêts légitimes, et le temps peut opérer entre ces intérêts une conciliation naturelle et raisonnable. Mais avant ce terme, les partis sont indomptables par la seule puissance de la raison. Le gouvernement qui veut leur parler le langage de la justice et des lois leur devient bientôt insupportable, et plus il a été modéré, plus ils le méprisent comme faible et impuissant. Veut-il, quand il trouve des coeurs sourds
Que dire des journalistes demandant, dans une colonne, la conciliation avec des gens, contre lesquels, dans une autre colonne, ils réclament l'application de tel ou tel article du Code pénal.
Prison. Le baron de Corthuy, qui venait de remplir une mission toute de conciliation et de popularité, était du nombre des magistrats que cette mesure aurait atteints; les libertés qu'il avait concouru
Si difficile que la conciliation de ces lettres et de cet amour puisse être aux yeux de certaines personnes, il n'en est pas moins vrai qu'elle s'était faite pour madame de Lucillière, qui écrivait ces lettres sans aucun scrupule, et qui cependant aimait sincèrement «son Huron.» Seulement elle ne l'aimait point exclusivement, encore moins l'aimait-elle fidèlement.
Nous croyons que la mission de l'art est une mission de sentiment et d'amour, que le roman d'aujourd'hui devrait remplacer la parabole et l'apologue des temps naïfs, et que l'artiste a une tâche plus large et plus poétique que celle de proposer quelques mesures de prudence et de conciliation pour atténuer l'effroi qu'inspirent ses peintures. Son but devrait être de faire aimer les objets de sa sollicitude, et, au besoin, je ne lui ferais pas un reproche de les embellir un peu. L'art n'est pas une étude de la réalité positive; c'est une recherche de la vérité idéale, et le Vicaire de Wakefield fut un livre plus utile et plus sain
Je vais essayer. Nous avons reconnu d'abord, ce me semble, que la Divine Comédie et Faust sont deux œuvres profondément religieuses. Dans chacun de ces poëmes, qui ont été pour Dante comme pour Gœthe l'œuvre de toute la vie, l'un et l'autre ils ont voulu enseigner aux hommes la vérité divine dont chaque science humaine est un rayon, la doctrine du salut. Sous le voile du symbole et dans une action légendaire, ils ont intéressé l'esprit humain au mystère de sa propre destinée, temporelle et éternelle. Ils se sont faits apôtres et confesseurs d'une foi religieuse, morale et politique, où nous avons admiré l'expression la plus haute du problème de la vie en Dieu. Tous deux, par l'union intime de la science et de la poésie, de la raison et de la foi, ils ont essayé de rétablir l'harmonie primitive de l'âme humaine dans ses rapports avec l'âme du monde; ils ont cherché, dans les régions de l'infini, la conciliation des discordances et des contradictions de l'existence finie. Tous deux enfin ils ont tenté d'édifier une république, une cité idéale, où régneraient ensemble la liberté et la loi, la nature et l'esprit; où la contemplation et l'action, la science et l'amour, se prêtant une force mutuelle, donneraient dès ici-bas
Le domaine familial une fois en vue, les temps maléfiques étant révolus, la douce Ulfra reprit sa forme féminine et prononça quelques paroles de touchante conciliation, en tendant les bras
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