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Mis à jour: 22 juin 2025
Charles d'Orléans composa aussi pendant la captivité, un chant patriotique intitulé: La Complainte de France . Le but du poëte qui signalait avec douleur les plaies de la patrie, était louable sans doute, mais sa voix n'avait ni la mâle éloquence ni la verve puissante qu'il faut pour de tels sujets; et la ballade de la page 139 (Priez pour paix, doulce Vierge Marie) nous confirme dans cette opinion. Après la Complainte de France, viennent trois autres complaintes que je préfère, surtout la première; le poëte y dit ses peines amoureuses, et il est plus
Le bruit allait croissant, et des marchands de complaintes
Qui me rendra le délice, le bonheur idéal de mon âme ignorante, quand, telle qu'une fleur, elle s'ouvrait toute neuve, aux chansons, aux sornettes, aux complaintes, aux fabliaux, que ma mère en filant, cependant que j'étais blotti sur ses genoux, me disait, me chantait, en douce langue de Provence: le Pater des Calendes, Marie-Madeleine la Pauvre Pécheresse, le Mousse de Marseille, la Porcheronne, le Mauvais Riche, et tant d'autres récits, légendes et croyances de notre race provençale, qui bercèrent mon jeune âge d'un balancement de rêves et de poésie émue!
La langue Romane était comme on le sait, un mélange de l'idiome celtique et latin, en usage sous les deux premières races de nos rois, il est assez raisonnable de croire que les ouvrages du genre dont nous parlons, composés dans cette langue, durent en porter le nom, et l'on put dire une romane, pour exprimer l'ouvrage où il s'agissait d'aventures amoureuses, comme on a dit une romance pour parler des complaintes du même genre. En vain chercherait-on une étymologie différente
Moi qui sais des lais pour les reines Les complaintes de mes années Des hymnes d'esclave aux murènes La romance du mal aimé Et des chansons pour les sirènes
Nous nous en allions marchant l'un devant l'autre, suivant la rive du bois, comme chantent les dodelinettes et les complaintes canadiennes françaises que ont bercé pour nous tous le sommeil de notre première enfance. Nous marchions par un petit sentier battu dans la neige et dont les sinuosité multiples semblaient calquées sur les méandres de la rivière. Tout
D'entre nous, celui qui paraissait le plus près de la tombe, le vieux Niemcevicz, écoutait avec une gravité morne, un silence et une immobilité marmoréennes, ses propres Chants historiques, que Chopin transformait en dramatiques exécutions pour ce survivant des temps qui n'étaient plus. Sous les textes si populaires du barde polonais, on retrouvait le choc des armes, le chant des vainqueurs, les hymnes de fêtes, les complaintes des illustres prisonniers, les ballades sur les héros morts!... Ils remémoraient ensemble cette longue suite de gloires, de victoires, de rois, de reines, de hetmans... et le vieillard, prenant le présent pour une illusion, les croyait ressuscités, tant ces fantômes avaient de vie en apparaissant au-dessus du clavier de Chopin! Séparéde tous les autres, sombre et muet, Mickiewicz dessinait sa silhouette inflexible. Dante du Nord, il paraissait toujours trouver «amer le sel de l'étranger et son escalier dur
Tu ne me verras plus baigner mon oeil de larmes Pour avoir éprouvé le feu de tes regards; Le temps contre tes traits me donnera des armes, Et l'absence et l'oubli reboucheront les dards. Adieu, fertile esprit, source de mes complaintes, Adieu, charmes coulants dont j'étois enchanté: Contre le doux venin de ces caresses feintes Le souverain remède est l'incrédulité.
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