Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 9 mai 2025
Le prince d'Eckmühl se mit en marche le long de la forêt, la division Compans en tête. Deux batteries de soixante pièces de canon chacune, battant la position de l'ennemi, avaient été construites pendant la nuit. A six heures, le général comte Sorbier, qui avait armé la batterie droite avec l'artillerie de la réserve de la garde, commença le feu.
«Mon cousin, je reçois votre lettre du 11 avril, et j'y vois que, le 12, la division Compans sera
L'infanterie marche sans tirer; elle se hâtait pour arriver sur le feu de l'ennemi et l'éteindre, mais Compans, général de cette colonne, et ses plus braves soldats tombent blessés; le reste, déconcerté, s'arrêtait sous cette grêle de balles pour y répondre, quand Rapp accourt remplacer Compans: il entraîne encore ses soldats, la baïonnette en avant et au pas de course, contre la redoute ennemie.
L'action principale se passa sur une étendue de deux verstes entre Borodino et les ouvrages avancés de Bagration. En dehors de ce rayon, la cavalerie d'Ouvarow fit une démonstration vers le milieu de la journée, et, de l'autre côté d'Outitza, Poniatowsky et Toutchkow en vinrent un moment aux mains; mais ces deux incidents furent relativement sans importance. Ce fut donc sur la plaine, entre Borodino et les «flèches» de Bagration, sur un espace découvert près du bois, qu'eut lieu en réalité la bataille, de la façon la plus simple et la moins compliquée qu'on puisse imaginer. Le signal en fut donné des deux côtés par le feu de plus de cent pièces de canon. Puis, lorsque la fumée s'étendit comme un épais nuage, les deux divisions de Dessaix et de Compans se dirigèrent sur les «flèches», pendant que le détachement du vice-roi se portait sur Borodino. Il y avait une verste de distance entre ces «flèches» et la redoute de Schevardino où se tenait Napoléon, et plus de deux verstes,
Les corps des ducs de Trévise, de Raguse et celui du général Compans, qui ont concouru
Au milieu de ce fracas, Davoust, avec les divisions Compans, Desaix, et trente canons en tête, s'avance rapidement sur la première redoute ennemie. La fusillade des Russes commence: les canons français ripostent seuls.
L'ennemi attaqua ma nouvelle position avec le plus grand acharnement. Six fois nous perdîmes, mais sept fois nous reprîmes les postes importants situés sur notre front, et, entre autres, les tourelles qui flanquaient les murs du parc des Bruyères. Le général Compans,
A six heures et demie, le général Compans est blessé. A sept heures, le prince d'Eckmühl a son cheval tué. L'attaque avance, la mousqueterie s'engage. Le vice-roi, qui formait notre gauche, attaque et prend le village de Borodino que l'ennemi ne pouvait défendre, ce village étant sur la rive gauche de la Kologha.
A midi, la canonnade s'engagea. Le duc de Tarente n'eut pas besoin de jeter son pont sur chevalets: il trouva devant lui un pont de pierre, dont il força le passage. Le duc de Raguse jeta son pont; tout son corps d'armée passa sur l'autre rive de la Sprée. Après six heures d'une vive canonnade et plusieurs charges que l'ennemi fit sans succès, le général Compans fit occuper Bautzen; le général Bonnet fit occuper le village de Niedkayn, et enleva au pas de charge un plateau qui le rendit maître de tout le centre de la position de l'ennemi; le duc de Reggio s'empara des hauteurs, et
«Le chef de l'artillerie du 1er corps, général Pernetti, se portera alors en avant avec 30 canons de la division Compans et tous les obusiers des divisions Dessaix et Friant; il ouvrira le feu, et lancera ses obus sur la batterie ennemie, attaquée par: Canons de l'artillerie de la garde: 24 pièces. Canons de la division Compans: 30 Canons des divisions Dessaix et Friant: 8 Total: 62 pièces.
Mot du Jour
D'autres à la Recherche