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Mis à jour: 8 juillet 2025
Cent pirogues chargées de combattants rallient la jonque chinoise, le trois-mâts et le brig enlevé devant Manille. Une action sanglante s'engage aussitôt.
De même que pendant la guerre les dieux s'étaient mêlés aux combattants, ils devaient aussi être compris dans le traité. On stipulait donc qu'il y aurait alliance entre les dieux comme entre les hommes des deux villes. Pour marquer cette alliance des dieux, il arrivait quelquefois que les deux peuples s'autorisaient mutuellement
Porthos tira: un éclair illumina le champ de bataille. À cette lueur, les deux autres combattants jetèrent chacun un cri. Athos! dit d'Artagnan. D'Artagnan! dit Athos. Athos leva son épée, d'Artagnan baissa la sienne. Aramis! cria Athos, ne tirez pas. Ah! ah! c'est vous, Aramis? dit Porthos. Et il jeta son pistolet. Aramis repoussa le sien dans ses fontes et remit son épée au fourreau.
Il n'avait pas une blessure. Parmi les assaillants, cinq étaient morts ou blessés. A ce moment, sept ou huit nouveaux combattants entrèrent en scène. Ceux-ci étaient armés de pistolets!... Pardaillan était perdu!
Deux haches et un merlin. C'est bien. Nous sommes vingt-six combattants debout. Combien y a-t-il de fusils? Trente-quatre.
Les deux jours que dura la bataille furent remplis d'anxiété pour les habitants de Vienne, qui, n'étant séparés des armées que par le Danube, non seulement entendaient le canon et la fusillade, mais voyaient parfaitement les manœuvres des combattants. Les toits, les clochers de Vienne, et surtout les hauteurs qui dominent cette ville et la rive droite, étaient couverts par la population, qui, selon les phases de la bataille, passait de la crainte
Le proconsul mêla lui-même les bulletins, puis les sept combattants s'avancèrent, en prirent chacun un, le déposèrent entre les mains du président des jeux; celui-ci les ouvrit les uns après les autres et les appareilla. Le hasard voulut que les deux Corinthiens eussent chacun un A, le Thébain et le Syracusain chacun un B, le Sybarite et l'athlète les deux C, et Lucius le D.
À neuf heures précises, les combattants entrèrent en lice avec leurs quatre témoins et le juge du camp. Fougas, nu jusqu'
«Que font-ils? se demanda le prince André. Pourquoi l'artilleur ne fuit-il pas, puisqu'il n'a plus d'arme, et pourquoi le Français ne l'abat-il pas? Il n'aura pas le temps de se sauver, que le Français se souviendra qu'il a son fusil! En effet, un second Français arriva sur les combattants, et le sort de l'artilleur roux, qui venait d'arracher le refouloir des mains de son adversaire, allait se décider. Mais le prince André n'en vit pas la fin. Il reçut sur la tête un coup d'une violence extrême, qu'il crut lui avoir été appliqué par un de ses voisins. La douleur était moins sensible que désagréable, dans ce moment où elle faisait une diversion
On savait que l'armée royale s'était rassemblée au nombre de 100,000 combattants; que cette armée s'augmentait sans cesse par l'arrivée de nouveaux renforts; que la noblesse de France avait juré d'anéantir les Anglais; que ceux-ci, décimés par les maladies et la famine, mais encouragés par la présence de leur roi, ne comptaient pas plus de 15,000 gens d'armes et archers; qu'ils avaient battu en retraite cependant, sans accepter la bataille, et qu'après avoir passé la Somme
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