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Mis à jour: 8 mai 2025


Lagrange a pensé, avec beaucoup de vraisemblance, que le cas des explosions avait été très fréquent dans notre monde, et qu'on pouvait expliquer ainsi l'existence des comètes, d'après la grandeur des excentricités et des inclinaisons et la petitesse des masses, qui les caractérisent principalement. Il suffit, en effet, de concevoir qu'une planète ait éclaté en deux fragmens extrêmement inégaux, pour que le mouvement du plus considérable soit resté presque tel qu'auparavant, tandis que le plus petit aura pu décrire une ellipse très allongée et fort inclinée

C'est dans cet esprit que la théorie géométrique des comètes est habituellement traitée; car, sur le très grand nombre de comètes actuellement connues et paraboliquement caractérisées, il n'y en a pas dix dont les orbites elliptiques soient jusqu'ici bien établies, tant est extrême la difficulté mathématique de la solution rigoureuse. Néanmoins, sans la théorie elliptique on ne saurait, évidemment, atteindre

Tout n'était pas fabuleux dans le système des anciens transmis au moyen âge; le nom des astres, leur place dans le ciel, l'heure de leur apparition, de leur accroissement et de leur décroissance, le calcul du retour des comètes, les phases de la lune, etc., etc., tout cela a été adopté par l'astronomie moderne.

On conçoit aisément, du point de vue astronomique, la difficulté nouvelle que doivent introduire, dans l'étude des mouvemens, ces deux caractères essentiels des comètes, si peu intéressans en apparence. Indépendamment des perturbations bien plus grandes qui en sont la suite nécessaire, et que nous ne devons point considérer encore, il est clair que l'obligation de ne rien négliger,

Mon étoile est dans ce fourreau: quand elle brillera, elle effacera l'éclat des comètes. Mais songeons

En vérité, dit-il, vous plaisantez... ou bien vous voulez me faire croire que je suis myope... À vous entendre, la queue des comètes atteindrait des milliers et des milliers de lieues de longueur... or, vous avouerez que, s'il en était ainsi, nous serions

=375.= COMÈTE DE HALLEY. Halley, astronome anglais du XVIIe siècle, calcula d'après les méthodes de Newton les orbites d'un grand nombre de comètes dont on avait conservé les observations. Il fut frappé des analogies qui existaient entre des comètes observées en 1531, 1607 et 1682. L'intervalle de ces observations successives étant 75 ou 76 ans, il se hasarda

Et, secoué par une hilarité de plus en plus forte, il ajouta comiquement: Plaise aux dieux qu'Ossipoff l'écrase sous une pluie d'étoiles, de comètes, de nébuleuses telle qu'il ne s'en relève pas... Il dit encore en haussant les épaules: Vraiment, est-ce vivre que d'avoir continuellement un astre de Damoclès suspendu au-dessus de la tête?

«La plus redoutable des cometes de notre temps, ajoute le même auteur, fut celle de l'an 1527. Car le regard d'icelle donna telle frayeur

Il y a quelques dix-huit siècles, dit-il, Sénèque déclarait que «les comètes se meuvent régulièrement dans des routes prescrites par la nature» et il affirmait que la postérité s'étonnerait que son âge eût méconnu une si incontestable vérité... mais ce ne fut qu'en 1758 que les comètes, après avoir épouvanté le monde par leurs brusques et soudaines apparitions, devinrent, grâce

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