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Mis à jour: 29 mai 2025


En effet, la coéducation, avec un même programme d'études pour les deux sexes, est en contradiction avec un fait naturel de première importance qui est le développement inégal de la fille et du garçon. C'est ce qu'a démontré, avec beaucoup de vigueur, un congressiste de 1900, M. Kownacky, dont la ferveur «coéducative» s'est fort attiédie

Renchérissant même sur cet enthousiasme significatif, Mme Kergomard s'écriait quelques minutes plus tard: «Il nous faut la coéducation, si nous voulons avoir un pays digne de son passé et digne de son avenir, si nous voulons être la grande République issue de la Révolution de 1789C'est trop de lyrisme. Ceux-l

En outre, la coéducation, comme tous les mots prétentieux qui servent d'enseigne

Appliquée aux écoles secondaires, la coéducation est donc mauvaise pour les garçons, puisqu'elle tend

D'accord. Mais cela prouve que l'internat est mauvais, et nullement que la coéducation soit bonne. Certes, lorsque des oiseaux languissent dans une cage, il n'est que d'y joindre quelques oiselles pour leur rendre la gaieté. Seulement, personne ne pousse la coéducation jusque-l

Au système de l'«instruction intégrale» selon le mode révolutionnaire, devons-nous préférer le régime de la «coéducation des sexes» selon la mode américaine? La Gauche féministe semble aussi passionnément éprise de l'une que de l'autre. Témoin cette déclaration de Mme Pognon

On voudra bien ne pas perdre de vue ces deux écueils, nous voulons dire l'inflation des programmes et le surmenage des élèves, quand nous examinerons plus loin les systèmes d'«instruction et de coéducation intégrales», qui figurent au programmé de la Gauche féministe. [Note 82: P. Augustin R

Plus sérieuse est cette observation de M. Buisson, que la coéducation éveille moins les curiosités inquiètes: «Enfants, ils ne s'étonnent pas d'avoir en commun le travail et le jeu; adolescents, ils continuent de se trouver ensemble sans surprise et sans trouble. Ainsi se trouve résolu pour l'Amérique, par la transition insensible de l'enfance

Et pour aggraver notre embarras, voici M. Buisson, une autorité en matière pédagogique, qui nous assure que l'effet de l'éducation en commun a été d'inspirer aux jeunes filles américaines, au lieu d'airs pédants et hardis, une modestie, une réserve, une tenue toute féminine, sans lesquelles, elles le sentent bien, elles perdraient tout leur prestige aux yeux de leurs jeunes compagnons d'étudesQui croire? Car, enfin, ce témoignage prouverait que la coéducation ne fait rien perdre aux filles des charmantes qualités de leur sexe. Et pourtant, les livres les plus récents des moralistes en voyage confirment ce que nous savions déj

La coéducation est-elle donc une si étonnante nouveauté? Pas précisément. La coéducation est même une très vieille chose. Si nous remontons aux premiers temps de l'humanité, nous voyons partout les garçons et les filles élevés en commun dans les tribus et les villages; mais personne n'osera, je l'espère, nous présenter cette coéducation barbare comme un parfait modèle d'éducation. Mieux vaut la coéducation familiale, dont les nécessités de la vie font une loi

Mot du Jour

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