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Mis à jour: 4 mai 2025
Les chambres votent des crédits pour la reconstruction de la bibliothèque Sainte-Geneviève, l'Institut des jeunes aveugles et le monument de Napoléon, ainsi que pour l'acquisition de la collection d'antiquités de Dusommerard et de l'hôtel de Cluny, dont on fait un musée d'antiquités françaises.
Maïeul gouverna l'abbaye de Cluny pendant quarante ans, jusqu'en 994. La chronique dit que ce fut un ange qui lui apporta le livre de la règle monastique; devenu l'ami et le confident d'Othon le Grand, la tiare lui fut offerte par son fils Othon II, qu'il avait réconcilié avec sa mère, sainte Adélaïde: il refusa, sur ce que, disait-il, «les Romains et lui différaient autant de moeurs que de pays.» Sous son gouvernement un grand nombre de monastères furent soumis
L'ordre bénédictin de Cluny possédait des établissements secondaires qui avaient des rapports avec les granges cisterciennes; on les désignait sous le nom d'Obédiences . Ces petits établissements possédaient tout ce qui constitue le monastère: un oratoire, un cloître avec ses dépendances; puis autour d'une cour voisine, ouverte, les bâtiments destinés
J'en remarque tout d'abord plusieurs qui ne rentrent en aucune façon dans cette catégorie. Il n'y avait ni deux rues de Cluny, ni deux rues Percier, et il est impossible de comprendre par quel motif on a débaptisé les seules qui existassent. Il était si facile de placer M. Cousin ailleurs que dans la première de ces rues, dont la dénomination exhalait un parfum gothique
3° Le Conservatoire des arts et métiers, autrefois le prieuré de (p.133) Saint-Martin-des-Champs. On croit que c'était une abbaye dont la fondation se perd dans les premiers temps de la monarchie, et qui fut détruite presque entièrement par les Normands. Elle fut réédifiée en 1060 par Henri Ier et Philippe Ier, convertie, en 1079, en prieuré dépendant de l'abbaye de Cluny, et en 1130 fortifiée. Son enclos, qui avait quatorze arpents, s'étendait de la rue au Maire
Ces réformes étaient devenues bien nécessaires, car depuis longtemps les abbés et les moines avaient étrangement faussé la règle de Saint-Benoît. Pendant les invasions des Normands particulièrement, la discipline s'était perdue au milieu du désordre général, les abbayes étaient devenues des forteresses plus remplies d'hommes d'armes que de religieux; les abbés eux-mêmes commandaient des troupes laïques, et les moines chassés de leurs monastères étaient obligés souvent de changer le froc contre la cotte de buffle . Toutefois, si après les réformes de Cluny et de Cîteaux les abbés ne se mêlèrent plus dans les querelles armées des seigneurs laïques, ils ne cessèrent de s'occuper d'intérêts temporels, d'être appelés par les souverains non-seulement pour réformer des monastères, mais aussi comme conseillers, comme ministres, comme ambassadeurs. Dès avant les grandes associations clunisiennes et cisterciennes, on avait senti le besoin de réunir en faisceau certaines abbayes importantes. Vers 842, l'abbé de Saint Germain des Prés,
Très-bien: voyez-vous, je ne me connais guère en toilettes, je laisse maman s'en occuper pour moi. Vous avez bien tort! je reprends: Robe de faye bleu de France avec dentelles de Cluny, blanches, sur toutes les coutures; robe de velours vert, garnie de grèbe avec casaque pareille, garnie de même. Robe de satin gris avec brandebourgs de velours vert et épaulettes noires.
Toute cette grandeur perdit Cîteaux. Elle se trouva, pour la discipline, presque au niveau de la voluptueuse Cluny. Celle-ci, du moins, avait de bonne heure affecté la douceur et l'indulgence. Pierre le Vénérable y avait reçu, consolé, enseveli Abailard. Mais Cîteaux corrompue conserva, dans la richesse et le luxe, la dureté de son institution primitive. Elle resta animée du génie sanguinaire des croisades, et continua de prêcher la foi en négligeant les oeuvres. Plus même l'indignité des prédicateurs rendait leurs paroles vaines et stériles, plus ils s'irritaient. Ils s'en prenaient du peu d'effet de leur éloquence
[Note 14: La famille de la Blétonnière est originaire de Cluny. Un Antoine de la Blétonnière, procureur du roi, puis juge royal en la châtellenie de Saint-Gengoux par provisions du 11 août 1617. Son fils Antoine, lieutenant en l'élection du Mâconnais. D'après le contrat de mariage de Philiberte, où les époux sont qualifiés «habitants de Cluny», on voit que les Alamartine ne résidaient pas encore
Saint Odilon, désigné par Maïeul comme son successeur, fut confirmé par cent soixante dix-sept religieux de Cluny: il réunit sous la discipline clunisienne les monastères de Saint-Jean d'Angély, de Saint-Flour, de Thiern, de Talui, de Saint-Victor de Genève, de Farfa en Italie; ce fut lui qui exécuta la réforme de Saint-Denis en France qu'Hugues Capet avait demandée
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