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Mis à jour: 31 mai 2025


L'ombre de ces ciels nuageux qui précède de deux heures le crépuscule se répandait dans le salon, les ensevelissait peu

Ceci le prétendant de la vérité!... Non! Fou seulement! poète seulement! parlant en images coloriées, criant sous un masque multicolore de fou, errant sur de mensongers ponts de paroles, sur des arcs-en-ciel mensongers, parmi de faux ciels errant, planant ç

Mais avions-nous autrefois, dans cette baie, une si énervante chaleur? Je n'en ai pas souvenance, non plus que de ces accablants ciels d'orage. On étouffe entre ces montagnes. Nos pauvres matelots fatigués ne reprennent point leur mine, loin de l

Dans cette mer de lumière, l'unité vraie de cette ville sainte, la ville d'une race plutôt encore que la ville d'une nation, se révélait. On dit qu'elle est belle encore, sous la neige et toute constellée de glaces. Sa puissance n'éclate que sous les ciels extrêmes. Ainsi les habitants: ils vont de la résignation absolue, du fatalisme passif, aux révoltes suprêmes et au terrorisme.

Vers onze heures de la nuit, par cette lumière nocturne qui est horizontale et qui projette si bien la dentelure des cimes sur les ciels pâlis, nous reprenons la mer. La baie de la Recherche diminue et reste entièrement claire. Aucun brouillard n'appauvrit les nuances, qu'on sent fines par elles-mêmes et vues directement. Ce n'est pas le soir, c'est le jour qui veille et qui somnole un peu. Au-dessus des montagnes aiguës, disposées en couronne et de tailles presque égales, des lueurs liliales emplissent d'abord le ciel, comme si l'éclat de la neige montait, puis ce sont des verts très pâles, maîtres de tout l'horizon, puis des jaunes lavés et enfin un commencement d'azur. Quelle belle enveloppe Dieu a faite

Il avait quatre-vingt-dix ans passés, quatre-vingt-dix ans de peines et d'efforts, de luttes ardentes, de combats sous tous les ciels, de souffrances

Et toujours, la grande chaleur, les très profonds ciels bleus, les étincellements de nos plages de sable, la réverbération de la lumière sur les chaux blanches des maisonnettes dans nos petite villages de «l'île», me causaient ces impressions de mélancolie et de sommeil que j'ai retrouvées ensuite, avec une intensité plus grande, dans les pays d'Islam...

Le petit Zézé Daudet est vraiment doué picturalement, et a d'étonnants yeux de coloriste. J'ai vu d'autres enfants de son âge, dessiner, et dessiner aussi bien que lui, mais je n'en ai pas vu faire des ciels, des colorations d'orage, des feux d'artifice de soleil couchant, enfin se livrer

O soirs que tant d'amour oppresse, Nul oeil n'a jamais regardé Avec plus de tendre tristesse Vos beaux ciels pâles et fardés! J'ai délaissé dès mon enfance Tous les jeux et tous les regards, Pour voguer sans peur, sans défense, Sur vos étangs qui veillent tard. Par vos langueurs

Mais ce sont les atmosphères tristes qui dominent, des ciels comme voilés encore par les fumées des incendies, d'autres blafards comme des suaires, éclairant des scènes indicibles, villages en ruines, pauvres morts héroïques injuriés par les animaux faméliques, pour n'avoir pas été enterrés assez profond, ou maltraités encore, après la fin suprême, par les vivants, traînés comme de la chair vile, demi-nus, derrière quelque chariot dont la moisson de cadavres est déj

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