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Le Chelif, qui sort par soixante-dix sources du pied des monts Ouennaseris, est la rivière la plus considérable de l'Algérie, tant

«Je juge de la fertilité, non-seulement par les produits que j'ai vus sur le Chélif, la Mina, l'Illel, l'Habra, le Sig, etc.; mais encore par la population et celle-ci par le grand nombre de cavaliers. J'ai la certitude que la province d'Oran possède 23,000 cavaliers montés sur des chevaux qui leur appartiennent; quatre surfaces pareilles en France ne produiraient pas autant de chevaux. Un tel pays n'est pas pauvre: bien administré, il pourra très-bien payer les impôts nécessaires pour couvrir les dépenses gouvernementales et procurer

Sid'Omar a soixante ans. En dépit de l'âge et de la petite vérole, son visage est resté beau: de grands cils, un regard de femme, un sourire charmant, l'air d'un prince. Ruiné par la guerre, il ne lui reste de son ancienne opulence qu'une ferme dans la plaine du Chélif et une maison

Dans une autre lettre, venaient, selon la promesse donnée, des appréciations sur la propriété des de Mercy, sise dans la plaine du Chélif. L'avocat y constatait en substance, la beauté des terres, le bon état de la ferme, mais aussi la mauvaise foi du fermier, le peu de contrôle exercé par l'intendant d'une grande propriété, appartenant

Alors il m'expliqua qu'il était en train de fonder une affaire pour construire des barrages sur les principales rivières de la province: Chelif, Mina, Habra, Sig, afin de fournir de l'eau aux irrigations, et il me demanda tout ce que je savais sur le cours de ces rivières, sur les plaines et sur les villages qu'elles traversent.

Rivières. Les principaux cours d'eau de la province d'Oran sont: le Chelif, le Rio-Salado (Oued-el-Maleh), l'Habrah, (surnommé Macta gué),

Sid'Omar a soixante ans. En dépit de l'âge et de la petite vérole, son visage est resté beau: de grands cils, un regard de femme, un sourire charmant, l'air d'un prince. Ruiné par la guerre, il ne lui reste de son ancienne opulence qu'une ferme dans la plaine du Chélif et une maison

La question ainsi résolue sur la rive gauche du Chélif, le moment a semblé opportun de porter nos armes du côté de Tenès, elles n'avaient pas encore paru.

Le gouverneur-général avait senti l'importance de ne pas laisser Abd-el-Kader s'établir tranquillement, pendant tout l'hiver, dans la chaîne des montagnes de l'Ouarenseris (province d'Oran). Dans cette position, il se procurait d'ailleurs d'abondantes ressources et disposait de nombreux guerriers de ces montagnes, l'émir dominait tout le pays entre le Chélif et la Mina, maintenait dans la crainte, aux alentours, les tribus qui nous paraissaient les plus dévouées, et pouvait, en reconstituant de nouvelles forces, attaquer sérieusement les entrées que nous possédons en avant de Alédéah, Milianah et Mostaganem. M. le général Bugeaud résolut donc de porter, même en hiver, une guerre sérieuse sur l'Ouarenseris. Dans cette vue, trois colonnes de la division d'Alger furent réunies, le 24 novembre 1842, sous les murs de Milianah, et se mirent en mouvement le 25, celle de droite, commandée par le gouverneur-général, ayant sous ses ordres M. le duc d'Aumale; celle du centre par le général Changarnier, celle de gauche par le colonel Korte. En même temps, les divisions de Mascara (général de La Moricière) et de Mostaganem (général Gentil), devaient manoeuvrer contre la grande tribu insoumise des Mitas, de manière