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Mis à jour: 17 juin 2025
Chambre des députés. Séance du 2 mars 1833. Dans le cours de l'année 1832, la France et l'Institut de France avaient perdu cinq hommes inégalement et diversement illustres, mais qui tous avaient grandement honoré leur patrie, et fait faire aux sciences qu'ils cultivaient de grands progrès. Champollion jeune était mort le 4 mars; Cuvier, le 13 mai; Abel Rémusat, le 3 juin; Saint-Martin, le 16 juillet; Chézy, le 3 septembre 1832. Le gouvernement présenta, par mon organe,
Quant au poème de Medjnoun et Leïla de Djâmi, nous citerons, pour en donner une idée, un passage de la traduction abrégée de M. Chézy; c'est la première entrevue de Medjnoun avec Leïla.
«Jamais je n'oublierai, dit M. de Chézy, l'impression ravissante que fit sur moi la lecture du drame de Sacountala, lorsqu'il y a environ trente ans, la traduction anglaise de ce chef-d'oeuvre, par le célèbre W. Jones, vint par hasard
En attendant qu'il se trouve en France un ministère qui sente la haute importance de la Perse, de l'Inde et de la Chine, et qui veuille organiser convenablement cette Société asiatique, dont j'ai été, avec MM. de Sacy et de Chézy, un des fondateurs; en attendant qu'on alloue des fonds convenables
[Arabe] DJAMI, célèbre poète persan, auteur d'un poème sur Joseph et Zuleïka, en a aussi fait un sur Medjnoun et Leïla, qui a été traduit en français par M. Chézy, 2 vol. in-18. Son poème de Jousouf et Zuleïka a été publié en persan et en allemand
Ce que M. Abel Rémusat avait presque seul entrepris pour le chinois, M. de Chézy, avec moins de secours encore, l'entreprit et l'acheva pour la langue sanscrite, avant lui presque entièrement inconnue de l'érudition française. Par cet instinct opiniâtre et cette vive sagacité qui fait les grandes vocations savantes, il pénétra, sans maîtres et sans livres élémentaires, dans cette langue mystérieuse de l'Inde, que l'on apprend avec peine,
Si vous voulez juger de l'impression que fit sur moi ce chef-d'oeuvre exhumé d'une langue depuis tant de siècles muette et morte, écoutez celle que la première apparition de ce poëme fit sur l'esprit de son savant traducteur français, M. de Chézy. M. de Chézy était érudit, je n'étais que poëte; il y a plus de mérite
4º A Mme Wilhelmine-Christiana de Klenecke, veuve de M. de Chézy, membre de l'Académie royale des inscriptions et belles-lettres de l'Institut, professeur de langue et littérature sanscrites au Collége de France, professeur de persan
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