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Mis à jour: 12 juin 2025
Reicha venait de mourir: je me trouvais sans professeur. Ma mère eut la pensée de me conduire chez Cherubini, et de lui demander mon admission dans une des classes de composition du Conservatoire. J'emportai sous mon bras quelques-uns de mes cahiers de leçons avec Reicha, afin de pouvoir renseigner Cherubini sur le point où j'en étais. Cette exhibition ne fut pas nécessaire. Cherubini s'informa verbalement de mon passé; et, lorsqu'il sut que j'étais élève de Reicha (qui avait cependant professé au Conservatoire), il dit
Je donne mon second concert. La symphonie fantastique. Liszt vient me voir. Commencement de notre liaison. Les critiques parisiens. Mot de Cherubini. Je pars pour l'Italie. Malgré les pressantes sollicitations que j'adressai au ministre de l'intérieur pour qu'il me dispensât du voyage d'Italie, auquel ma qualité de lauréat de l'Institut m'obligeait, je dus me préparer
La Restauration amena pour Cherubini une tardive justice; les Bourbons prirent
Le bon Mayer, voyant un jour Cherubini
Chénier, Lemercier, Ducis, Isabey, Garat, Chérubini, Andrieux, Legouvé, Gérard, Méhul, Alexandre Duval, le joyeux Picard, le malin Hoffman, Longchamps, l'auteur de Ma tante Aurore, l'aimable Dupaty, l'élégant Forbin, les deux Ségur, le chevalier de Boufflers, le comte de Lauraguais, et ce groupe de jeunes officiers montés depuis aux grades de généraux, de maréchaux, de princes, tous s'empressaient d'obtenir un mot, un sourire d'Ellénore.
Une oraison funèbre en trois syllabes. Cherubini se promenait dans le foyer de la salle des concerts du Conservatoire pendant un ent'racte. Les musiciens autour de lui paraissaient tristes: ils venaient d'apprendre la mort de leur confrère Brod, virtuose remarquable, premier hautbois de l'Opéra.
Vers l'époque de l'Invasion, les artistes les plus distingués de Paris, pour se dispenser de monter la garde, s'engagèrent dans la musique de l'état-major, dont Méhul, Cherubini, Berton et Paër étaient capitaines. Nicolo était clarinette, Boïeldieu, chapeau-chinois, Nadermann, grosse caisse, Tulou, fifre, etc. Tous ces admirables talents frappant, soufflant
Si je voulais citer, les exemples fameux ne me manqueraient pas; mais, pour ne raisonner qu'en thèse générale et abstraction faite des hautes questions d'art, n'est-ce pas d'Italie que sont venues les formes conventionnelles et invariables, adoptées depuis par quelques compositeurs que Cherubini et Spontini, seuls entre tous leurs compatriotes, ont repoussées, et dont l'école allemande est restée pure? Pouvait-il entrer dans les habitudes d'êtres bien organisés et sensibles
Cette grande pépinière de virtuoses, où toutes les parties de l'art musical étaient enseignées par les artistes les plus habiles, sous l'inspection des Méhul, des Chérubini, des Gossec, des Le Sueur, rivalisa dès sa naissance avec les plus célèbres écoles d'Italie; c'est elle qui, tout en fournissant
Quelques années après la cérémonie dont je viens de raconter les péripéties, la ville de Lille ayant organisé son premier festival, Habeneck fut engagé pour en diriger la partie musicale. Par un de ces caprices bienveillants qui étaient assez fréquents chez lui, malgré tout, et peut-être pour me faire oublier, s'il était possible, sa fameuse prise de tabac, il eut l'idée de proposer au comité du festival, entre autres fragments pour le concert, le Lacrymosa de mon Requiem. On avait placé également dans ce programme le Credo d'une messe solennelle de Cherubini. Habeneck fit répéter mon morceau avec un soin extraordinaire et l'exécution,
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