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Mis à jour: 3 mai 2025
Et je lui dis tout bas, comme font les enfants qui cassent un bijou pour voir dedans: «Si vous aviez vu pleurer M. Chantal tout
Félix était fluet, si faible contre le mal. Père était solide comme un chêne. Les chênes cassent, Lucile. Quand ils sont très vieux. Papa n'a pas encore soixante ans: il vivra, il ressuscitera même, s'il le faut! Tu en mourrais, je le sens, et c'est atroce d'y penser. Il faut qu'il vive!
[Note 70: Dans tous les pays régis par les lois anglaises, les batteries sont toujours précédées de beaucoup d'injures verbales, parce qu'on y dit «que les injures ne cassent pas les os (high words break no bones).» Souvent aussi on s'en tient l
Antoine retrouve tous ses ennemis l'un après l'autre. Il en reconnaît qu'il avait oubliés; avant de les tuer, il les outrage. Il éventre, égorge, assomme, traîne les vieillards par la barbe, écrase les enfants, frappe les blessés. Et on se venge du luxe; ceux qui ne savent pas lire déchirent les livres; d'autres cassent, abîment les statues, les peintures, les meubles, les coffrets, mille délicatesses dont ils ignorent l'usage et qui,
Dans le firmament bleu un azur de ciel d'été les fumées molles des innombrables cheminées de la ville montaient verticales. Parfois, de légers coups de vent, des brises égarées, cherchant leur chemin d'une aile inquiète, couchaient comme des flammes de bougies ces fumées paisibles, quasi immobiles pour l'oeil qui les suivait dans l'atmosphère. Alors ces vapeurs chaudes de bois ou de charbons fondus en braises, flottantes comme des buées sur l'air pur et lumineux de la nuit, devenaient panachées élastiques comme de la vapeur échappée des soupapes d'une locomotive. Et les fumerolles, comme autant de piliers qui se cassent et qui croulent, se brisaient en une infinité de petits nuages floconneux courant
Et puis, ces premiers soleils vous cassent la tête, ajouta Hubert, qui, son métier tendu, s'apprêtait
Les roseaux desséchés ploient et cassent avec bruit sous son large poitrail. Il n'est plus qu'il une brasse du cèdre où se tient le chef nez-percé; il exhale un second beuglement. Oli-Tahara s'inquiète; il a vu une ombre singulière se réfléchir dans l'eau; il relève la tête. A ce moment, Molodun, son couteau dans la main droite, fond sur lui comme un vautour sur sa proie.
Il y a des engueulades qui rougissent les yeux, bleuissent les joues, crispent les poings, arrachent les cheveux, cassent les oeufs, renversent les éventaires, dépoitraillent les matrones et me remplissent d'une joie pure. Je nage dans la vie familière, grasse, plantureuse et saine. J'aspire
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