Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 20 juin 2025


Allons donc! les Anglais d'aujourd'hui sont trop intelligents et trop généreux pour défendre aux Canadiens-français de manifester leur patriotisme... Du reste, rien ne vous empêche de donner

Mais il pourrait bien te faire pendre avec les Canadiens-français qu'il a enfermés dans les cachots, pour avoir soulevé le peuple ou pris part

Lorsqu'un comité, composé des hommes les plus honorables, se constitua sous la présidence de M. L. O. David, et recueillit dans son sein des membres pris dans les partis politiques les plus opposés, pour provoquer, en dehors de toute acception de parti, un mouvement canadien-français, les mêmes personnes disaient encore: «Prenez garde! n'allez pas gêner sans le vouloir l'action du gouvernement! La situation des ministres est délicate. Il n'y a pas que des Canadiens-français dans la Confédération, et puisque les ministres sont décidés

Pour tuer Riel, il fallait endormir la vigilance des canadiens-français, et les empêcher d'intervenir d'une façon vigoureuse et efficace sur les ministres qui les représentaient.

On lisait dans la presse du 20 octobre dernier: Chose curieuse! Au début il semblait qu'il n'y eut qu'une voix parmi les Canadiens-français. Ni sur la façon dont le Nord-Ouest avait été administré, ni sur la façon dont le procès de Riel a été conduit, il ne semblait pas que personne crût pouvoir défendre le gouvernement. La Minerve s'y essayait

s'étaient fixés des Métis canadiens-français. Leur colonie datait de 1868. Elle s'était fondée nombreuse d'environ deux cents famille. Dans cette colonie existait le gouvernement métis, dont la Confédération ne pouvait devenir dépositaire que par le consentement des gens. Parce que ce consentement n'a été ni demandé ni donné, le conseil des Métis de la Saskatchewan et leurs lois de la prairie ont continué d'être le vrai gouvernement et les vraies lois de cette contrée, et le sont encore virtuellement aujourd'hui. A leur tête était un homme dévoué, toujours prêt

Allons planter notre drapeau sur Montréal et Québec! s'écrièrent les Américains avec transport; dans quelques jours, nous serons les maîtres du pays... Ils avalent la mémoire courte, puisqu'ils paraissaient avoir oublié les souvenirs de 1775. Mais les soldats canadiens-français devaient les leur rappeler d'une manière sanglante. UN H

»Alors, chacun de nous a senti les larmes lui monter aux yeux, celles qui sont toutes nobles, celles qui effacent peut-être les fautes du passé. »Et j'ai résolu de saluer, ce soir, les Canadiens-Français, qui ont fait pleurer les Français de France

SIR JOHN A. MACDONALD, bourreau de Riel, ayant froidement méthodiquement, lentement conçu et perpétré le meurtre, suborné les juges, capté dans le conseil le vote de ses collègues canadiens-français, rêvé de transformer le gibet de Riel en un honteux moyen de réclame électorale.

«Le bruit des préparatifs de vos fêtes est parvenu aux oreilles de son excellence le gouverneur-général. Or, comme sir George Prévost sait que les Canadiens-français ont été traités injustement, et même tyrannisés, par plusieurs des gouverneurs qui l'ont précédé, et que son plus grand désir est de réparer les injustices qui ont été commises, il m'a chargé de m'enquérir du caractère des démonstrations que vous organisiez et de lui en faire un rapport. Car sachant que les Américains, depuis le commencement de la guerre, cherchent sans cesse

Mot du Jour

trimmel

D'autres à la Recherche