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Mis à jour: 9 juin 2025
Il est évident que beaucoup de difficultés se présentaient au sujet de la demande exprimée par le consul Cameron. Peu de personnes connaissaient l'Abyssinie, et la conduite de son gouverneur était si singulière, si contraire
M. Bardel, Français d'origine, avait accompagné M. Cameron, dans son premier voyage en Abyssinie: ils ne purent s'entendre et M. Bardel quitta le consul Cameron pour entrer au service de Théodoros. A cette époque Théodoros envoya
Quelques mois après que la nouvelle de la mort du consul Plowden eut été répandue en Angleterre, le capitaine Charles Duncan Cameron fut nommé an poste vacant de consul, mais pour plusieurs motifs il n'arriva
Quatrièmement: «N'avait-il pas donné une lettre au consul Cameron pour la reine d'Angleterre, et le consul n'était-il pas revenu sans réponse? M. Rosenthal n'avait-il pas dit que le gouvernement anglais s'était moqué de sa lettre?» Il y avait encore sept ou huit autres accusations, mais elles étaient insignifiantes et je ne m'en souviens pas. Peu de jours auparavant, un prêtre grec était arrivé de la côte porteur d'une lettre pour Sa Majesté: ces faits étaient-ils contenus dans cette lettre, ou bien était-ce seulement un prétexte inventé par Théodoros pour s'excuser des mauvais traitements qu'il avait l'intention d'infliger
Quoique le capitaine Cameron, dans toutes ses premières lettres, eût constamment insisté auprès de nous pour nous engager
Pour nous résumer, tel était l'état des différents partis quand l'orage éclata sur la tête de l'infortuné M. Stern, M. Bell et M. Plowden, les seuls Européens qui aient eu quelque influence sur l'esprit de l'empereur, étaient morts. Les gens de Gaffat travaillaient pour le roi, et naturellement se trouvaient souvent en sa présence, ce dont ils profitaient pour l'entretenir en amis de leurs sentiments envers M. Stern et la mission de Djenda. Pendant ce temps, le capitaine Cameron et ses gens étaient retenus
Oui, madame, et les anglais eux-mêmes ont souvent admiré le courage des néo-zélandais. Ceux-ci font une guerre de partisans, tentent des escarmouches, se ruent sur les petits détachements, pillent les domaines des colons. Le général Cameron ne se sentait pas
Le 4, il nous envoya prendre encore. Il était seul, assis en plein air. Il nous fit asseoir sur un tapis près de lui, et nous parla longuement de sa vie passée. Il nous dit comment il se conduisait avec les rebelles. D'abord, il leur envoyait l'ordre de payer leur tribut; s'ils refusaient, il y allait lui-même et ravageait leur pays. Au troisième refus, pour employer ses propres paroles: «il envoyait leurs corps au sépulcre et leurs âmes en enfer.» Il nous dit aussi que Bell lui avait beaucoup parlé de la reine d'Angleterre, et que plusieurs fois il avait eu l'intention de lui envoyer un ambassadeur, tout était même prêt quand le capitaine Cameron, par son influence, changea en ennemi son premier ami. Il avait ordonné, nous dit-il, que des présents nous fussent offerts pour nous montrer sa considération, car il n'avait rien avec lui qui fût digne de nous être présenté; il avait eu du plaisir
D'Adowa, le capitaine Cameron envoya une lettre de Théodoros
Ce mouvement des insurgés vers l'ouest amena la bataille de Sheriff-Muir, bataille restée sans résultats décisifs immédiats mais dont le duc d'Argyle sut recueillir tous les avantages. On doit se souvenir que l'aile droite des montagnards y renversa et tailla en pièces l'aile gauche d'Argyle tandis que l'aile gauche de l'armée de Mar, composée des clans Stewart, Mackenzie et Cameron, était en déroute complète. Dans cette affreuse bagarre Rob-Roy conserva son poste sur une montagne au centre de la position que les habitants des Hautes-Terres avaient choisie, et, bien que, assure-t-on, une attaque de sa part aurait décidé de la journée, on ne put le déterminer
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