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HENRI. Non, tu es encore trop faible... Songe donc, tu as été si malade! CADIO. Ma blessure est fermée, je n'en souffre plus. HENRI. Je ne m'inquiète pas de la blessure, mais de la fièvre pernicieuse. Elle t'a mis bien bas, sais-tu? j'ai été diablement inquiet de toi! CADIO. C'est fini. J'aurais été fâché de mourir sans avoir rien appris.

Tu poursuis la sauvage tradition de la vengeance; moi, je poursuis le règne de la fraternité, et j'y travaille, même en faisant la guerre, dans l'espoir d'assurer la paix. CADIO, avec un soupir. Rentrons dans la réalité palpable, si tu veux. Je pense bien que tu apportes ici les idées de clémence de tes généraux. C'est un malheur, un grand malheur! Moi, je proteste!

CADIO. Voil

S'il y a une émeute royaliste, si on force les prisons... Marie Hoche est républicaine; elle aura peut-être l'imprudence de se nommer et de dire ce qu'elle pense. Il faut l'avertir, et tout de suite! Mais comment faire pour ne pas attirer l'attention sur elle? Ce grenier au-dessus de nous, y es-tu monté quelquefois? CADIO. Non; il y a si peu de jours que je peux me porter sur mes jambes!

CADIO. Oh! moi, j'ai des sens qui pénètrent du présent dans l'avenir et dans le passé. Quand j'étais faible et craintif, j'ai vu et entendu tout cela d'avance, et tout cela se passait dans l'enfer, dont j'avais peur. A présent que l'enfer s'est répandu sur la terre, je le vois mieux, voil

Le mariage est légal, les actes sont en règle, et les vrais noms des parties contractantes y sont inscrits. CADIO. Montrez la copie. REBEC, la remettant

LOUISE. Mon père! Avez-vous vu?... Ah! Cadio, c'est toi! est mon père? CADIO. Il est parti. LOUISE. Sauvé? CADIO. Oui, bien sûr... Mais vous, je vous croyais... LOUISE. Je ne l'ai pas quitté; mais, dans un moment de confusion, j'ai été renversée, on a marché sur moi, je ne l'ai pas senti, je me suis levée, mais j'ai perdu de vue mon pauvre père et Saint-Gueltas... sont-ils? Dis.

HENRI. Bien, Cadio! Te voil

Présent, mon capitaine. CADIO. Fais seller mon cheval, je vais faire une reconnaissance. HENRI. J'irai avec toi. MOTUS. Le poulet d'Inde... pardon! je veux dire le cheval du colonel sera prêt aussi dans cinq minutes. Il mange l'avoine. HENRI. Te voil

HENRI. Pourquoi as-tu quitté la Bretagne? CADIO. Je ne pouvais plus y rester. Comme j'avais la tête rasée, on courait après moi dans les villages en m'appelant renégat. Alors, j'ai été devant moi au hasard, et, un jour, les brigands m'ont pris du côté d'ici. Ils m'ont mis dans la main une quenouille, et ils m'ont amené dans ce château nous voil