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Mis à jour: 7 juillet 2025


M. Paroletti termine en citant les lettres de Bussy-Rabutin et de madame de Sévigné, dont nous avons donné des extraits (ci-dessus, p. 463). Il conclut (p. 20) en adoptant l'opinion qui fait mourir Fouquet dans le donjon de Pignerol, vers le milieu du mois de mars 1680; il ajoute «que sa mort a être connue

Bussy-Rabutin s'empressa de lui répondre qu'il n'y avait pas d'excuse admissible; que le roi avait daigné, en effet, remarquer son absence

Volontiers, Madame, répondit-il en la saluant avec respect, maintenant que je puis vous parler ici sans témoins. Le comte de Bussy-Rabutin, sous les ordres de qui je servais

Bussy-Rabutin conseille

Bussy-Rabutin avait,

Quel que soit l'objet de la requête que vous voudrez bien me présenter, dit le prince, vous devez être sûre, Madame la marquise, que j'y ferai droit aussitôt, et m'estimerai très heureux de vous témoigner toute l'estime que vous méritez. Il s'agit de mon cousin le comte de Bussy-Rabutin, répliqua-t-elle en se hâtant de profiter des bonnes dispositions du duc d'Orléans.

[Note 145: Il paraît qu'une première fois, en 1691, et sans le solliciter, La Bruyère avait obtenu sept voix pour l'Académie par le bon office de Bussy, dont ainsi la chatouilleuse prudence (il est permis de le croire) prenait les devants et se mettait en mesure avec l'auteur des Caractères. On a le mot de remercîment que lui adressa La Bruyère (Nouvelles Lettres de Bussy-Rabutin, t. VIII). C'est même la seule lettre qu'on ait de lui, avec un autre petit billet agréablement grondeur

Parmi les anciennes traductions, assez peu remarquables, on ne doit conserver que celle de Bussy-Rabutin, réimprimée avec de nombreuses compositions poétiques sous ce titre: Lettres d'Héloïse et d'Abélard, traduites librement d'après les lettres originales latines, par le comte de Bussy-Rabutin, avec les imitations en vers par de Beauchamps, Colardeau, etc., etc., précédées d'une nouvelle préface par M.E. Martineault, in-12, Paris, 1841.

Le second point est plus important pour nous. Si, en effet, la mort de Fouquet en 1680 était bien constatée, il serait inutile de s'occuper du reste de la dissertation. J'ai cité les passages des lettres de Bussy-Rabutin et de madame de Sévigné, qui me paraissent ne laisser aucun doute raisonnable sur ce point. On peut y ajouter l'extrait suivant de la lettre de madame de Sévigné du 3 avril 1680 (vers la fin de cette lettre): «Mademoiselle de Scudéry est très-affligée de la mort de M. Fouquet; enfin voil

Toutefois je ne la convertirai pas en une étude préliminaire sur la vie et les oeuvres de Bussy-Rabutin; voici pour quelle raison: il me semble qu'une étude de ce genre doit être toujours faite de manière

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